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History of Civilization in England, Vol. 2 of 3
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History of Civilization in England, Vol. 2 of 3

Язык: Английский
Год издания: 2017
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211

‘Taken by Descartes as the basis of his physiology, in his work on Man.’ Whewell's Hist. of the Induc. Sciences, vol. iii. p. 441. ‘Réné Descartes se déclara un des premiers en faveur de la doctrine de la circulation.’ Renourd, Hist. de la Médecine, vol. ii. p. 163. See also Bordas Demoulin, le Cartésianisme, vol. ii. p. 324; and Œuvres de Descartes, vol. i. pp. 68, 179, vol. iv. pp. 42, 449, vol. ix. pp. 159, 332. Compare Willis's Life of Harvey, p. xlv., in Harvey's Works.

212

‘Les veines blanches, dites lactées, qu'Asellius a découvertes depuis peu dans le mésentère.’ De la Formation du Fœtus, sec. 49, in Œuvres de Descartes, vol. iv. p. 483.

213

Even Harvey denied it to the last. Sprengel, Hist. de la Méd. vol. iv. pp. 203, 204. Compare Harvey's Works, edit. Sydenham Soc. pp. 605, 614.

214

M. Cousin (Hist. de la Philos. II. série, vol. i. p. 39) says of Descartes, ‘Son premier ouvrage écrit en français est de 1637. C'est donc de 1637 que date la philosophie moderne.’ See the same work, I. série, vol. iii. p. 77; and compare Stewart's Philos. of the Mind, vol. i. pp. 14, 529, with Eloge de Parent, in Œuvres de Fontenelle, Paris, 1766, vol. v. p. 444, and vol. vi. p. 318: ‘Cartésien, ou, si l'on veut, philosophe moderne.’

215

‘Descartes avait établi dans le domaine de la pensée l'indépendance absolue de la raison; il avait déclaré à la scholastique et à la théologie que l'esprit de l'homme ne pouvait plus relever que de l'évidence qu'il aurait obtenue par lui-même. Ce que Luther avait commencé dans la religion, le génie français si actif et si prompt l'importait dans la philosophie, et l'on peut dire à la double gloire de l'Allemagne et de la France que Descartes est le fils aîné de Luther.’ Lerminier, Philos. du Droit, vol. ii. p. 141. See also, on the philosophy of Descartes as a product of the Reformation. Ward's Ideal of a Christian Church, p. 498.

216

For, as Turgot finely says, ‘ce n'est pas l'erreur qui s'oppose aux progrès de la vérité. Ce sont la mollesse, l'entêtement, l'esprit de routine, tout ce qui porte à l'inaction,’ Pensées in Œuvres de Turgot, vol. ii. p. 343.

217

‘Et si j'écris en français, qui est la langue de mon pays, plutôt qu'en latin, qui est celle de mes précepteurs, c'est à cause que j'espère que ceux qui ne se servent que de leur raison naturelle toute pure, jugeront mieux de mes opinions que ceux qui ne croient qu'aux livres anciens.’ Discours de la Méthode, in Œuvres de Descartes, vol. i. pp. 210, 211.

218

Ibid. vol. i. p. 127.

219

‘Er fing also vom Zweifel an, und ging durch denselben zur Gewissheit über.’ Tennemann, Gesch. der Philos. vol. x. p. 218. Compare Second Discours en Sorbonne, in Œuvres de Turgot, vol. ii. p. 89.

220

Disc. de la Méthode, in Œuvres de Descartes, vol. i. p. 136.

221

‘Je m'appliquerai sérieusement et avec liberté à détruire généralement toutes mes anciennes opinions.’ Méditations in Œuvres de Descartes, vol. i. p. 236.

222

Principes de la Philosophie, part i. sec. 75, in Œuvres de Descartes, vol. iii. pp. 117, 118; and compare vol. ii. p. 417, where he gives a striking illustration of this view.

223

Méditations, in Œuvres de Descartes, vol. i. pp. 303, 304.

224

‘Nous avons rempli notre mémoire de beaucoup de préjugés.’ Principes de la Philos. part i. sec. 47, in Œuvres, vol. iii. p. 91.

225

Œuvres, vol. iii. p. 117.

226

‘Ce qu'on peut particulièrement remarquer en ceux qui, croyant être dévots, sont seulement bigots et superstitieux, c'est à dire qui, sous ombre qu'ils vont souvent à l'église, qu'ils récitent force prières, qu'ils portent les cheveux courts, qu'ils jeûnent, qu'ils donnent l'aumône, pensent être entièrement parfaits, et s'imaginent qu'ils sont si grands amis de Dieu, qu'ils ne sauroient rien faire qui lui déplaise, et que tout ce que leur dicte leur passion est un bon zèle, bien qu'elle leur dicte quelquefois les plus grands crimes qui puissent être commis par des hommes, comme de trahir des villes, de tuer des princes, d'exterminer des peuples entiers, pour cela seul qu'ils ne suivent pas leurs opinions.’ Les Passions de l'Ame, in Œuvres de Descartes, vol. iv. pp. 194, 195.

227

As is particularly evident in his long chapter, headed ‘Apologie de Raimond Sebond.’ Essais de Montaigne, livre ii. chap. xii. Paris, 1843, pp. 270–382, and see Tennemann, Gesch. der Philos. vol. ix. p. 455.

228

He very clearly separates himself from men like Montaigne: ‘Non que j'imitasse pour cela les sceptiques, qui ne doutent que pour douter, et affectent d'être toujours irrésolus; car, au contraire, tout mon dessein ne tendoit qu'à m'assurer, et à rejeter la terre mouvante et le sable pour trouver le roc ou l'argile.’ Discours de la Méthode, in Œuvres de Descartes, vol. i. pp. 153, 154.

229

According to the view of Descartes, it was to be ignored, not denied. There is no instance to be found in his works of a denial of the existence of the external world; nor does the passage quoted from him by Mr. Jobert (New System of Philos. vol. ii. pp. 161, 162, Lond. 1849) at all justify the interpretation of that ingenious writer, who confuses certainty in the ordinary sense of the word with certainty in the Cartesian sense. A similar error is made by those who suppose that his ‘Je pense, donc je suis,’ is an enthymeme; and having taken this for granted, they turn on the great philosopher, and accuse him of begging the question! Such critics overlook the difference between a logical process and a psychological one; and therefore they do not see that this famous sentence was the description of a mental fact, and not the statement of a mutilated syllogism. The student of the philosophy of Descartes must always distinguish between these two processes, and remember that each process has an order of proof peculiar to itself; or at all events he must remember that such was the opinion of Descartes. Compare, on the Cartesian enthymeme, Cousin, Hist. de la Philos. I. série, vol. iv. pp. 512, 513, with a note in Kritik der reinen Vernunft, Kant's Werke, vol. ii. pp. 323, 324.

230

Méditations, in Œuvres de Descartes, vol. i. pp. 220, 226; and again in the Objections et Réponses, Œuvres, vol. ii. pp. 245, 246.

231

‘Au lieu que, lorsque nous tâchons à connoître plus distinctement notre nature, nous pouvons voir que notre âme, en tant qu'elle est une substance distincte du corps, ne nous est connue que par cela seul qu'elle pense.’ Œuvres de Descartes, vol. iv. p. 432. Compare vol. iii. p. 96, Principes de la Philosophie, part i. sec. 53.

232

‘En sorte qu'il me seroit bien plus aisé de croire que l'âme cesseroit d'être quand on dit qu'elle cesse de penser, que non pas de concevoir qu'elle soit sans pensée.’ Œuvres de Descartes, vol. viii. p. 574. That ‘the soul always thinks,’ is a conclusion also arrived at by Berkeley by a different process. See his subtle argument, Principles of Human Knowledge, part i. sec. 98, in Berkeley's Works, vol. i. p. 123; and for a curious application of this to the theory of dreaming, see Burdach, Physiologie comme Science d'Observation, vol. v. pp. 205, 230.

233

Œuvres de Descartes, vol. i. pp. 251, 252, 279, 293, vol. ii. pp. 252, 283.

234

Ibid. vol. i. p. 419; and at p. 420: ‘Or de tout cela on conclut très-manifestement que Dieu existe.’ See also pp. 159–162, 280, 290, 291. But the simplest statement is in a letter to Mersenne (vol. viii. p. 529): ‘J'ai tiré la preuve de l'existence de Dieu de l'idée que je trouve en moi d'un être souverainement parfait.’

235

‘Ainsi, quoique, de ce que je suis, je conclue avec certitude que Dieu est, je ne puis réciproquement affirmer, de ce que Dieu est, que j'existe.’ Règles pour la Direction de l'Esprit, in Œuvres, vol. xi. p. 274. See also Principes de la Philosophie, part i. sec. 7, vol. iii. p. 66.

236

On this famous argument, which it is said was also broached by Anselm, see King's Life of Locke, vol. ii. p. 133; the Benedictine Hist. Lit. de la France, vol. ix. pp. 417, 418; Mosheim's Eccles. Hist. vol. i. p. 239; and Cudworth's Intellect. Syst. vol. iii. p. 383.

237

‘Et certes jamais les hommes ne pourroient s'éloigner de la vraie connoissance de cette nature divine, s'ils vouloient seulement porter leur attention sur l'idée qu'ils ont de l'être souverainement parfait. Mais ceux qui mêlent quelques autres idées avec celle-là composent par ce moyen un dieu chimérique, en la nature duquel il y a des choses qui se contrarient; et, après l'avoir ainsi composé, ce n'est pas merveille s'ils nient qu'un tel dieu, qui leur est représenté par une fausse idée, existe.’ Œuvres de Descartes, vol. i. pp. 423, 424.

238

This is delicately but clearly indicated in an able letter from Arnaud, printed in Œuvres de Descartes, vol. ii. pp. 1–36: see in particular pp. 31, 34. And Duclos bluntly says: ‘Si, depuis la révolution que Descartes a commencée, les théologiens se sont éloignés des philosophes, c'est que ceux-ci ont paru ne pas respecter infiniment les théologiens. Une philosophie qui prenoit pour base le doute et l'examen devoit les effaroucher.’ Duclos, Mémoires, vol. i. p. 109.

239

On the relation of the Cartesian philosophy to the doctrine of transubstantiation, compare Palmer's Treatise on the Church, vol. ii. pp. 169, 170, with Hallam's Lit. of Europe, vol. ii. p. 453; and the remark ascribed to Hobbes, in Aubrey's Letters and Lives, vol. ii. p. 626. But Hobbes, if he really made this observation, had no right to expect Descartes to become a martyr.

240

‘Le caractère de la philosophie du moyen âge est la soumission à une autorité autre que la raison. La philosophie moderne ne reconnaît que l'autorité de la raison. C'est le cartésianisme qui a opéré cette révolution décisive.’ Cousin, Hist. de la Philos. II. série, vol. i. pp. 258, 259.

241

‘Nous rejetterons entièrement de notre philosophie la recherche des causes finales.’ Principes de la Philos., part i. sec. 28, in Œuvres de Descartes, vol. iii. p. 81. See also part iii. sec. 3, p. 182; and his reply to Gassendi, in Œuvres, vol. ii. pp. 280, 281. Compare Cousin, Hist. de la Philosophie, II. série, vol. ii. p. 71, with Sprengel, Hist. de la Médecine, vol. v. p. 203.

242

Dr. Whewell, for instance, says, that we must reject final causes in the inorganic sciences, but must recognize them in the organic ones; which, in other words, simply means, that we know less of the organic world than of the inorganic, and that because we know less, we are to believe more; for here, as everywhere else, the smaller the science the greater the superstition. Whewell's Philos. of the Inductive Sciences, 8vo., 1847, vol. i. pp. 620, 627, 628; and his Hist. of the Induc. Sciences, vol. iii. pp. 430, 431. If the question were to be decided by authority, it would be enough to appeal to Bacon and Descartes, the two greatest writers on the philosophy of method in the seventeenth century; and to Auguste Comte, who is admitted by the few persons who have mastered his Philosophie Positive, to be the greatest in our own time. These profound and comprehensive thinkers have all rejected the study of final causes, which, as they have clearly seen, is a theological invasion of scientific rights. On the injury which this study has wrought, and on the check it has given to the advance of our knowledge, see Robin et Verdeil, Chimie Anat. Paris, 1853, vol. i. pp. 489, 493, 494, vol. ii. p. 555; Renouard, Hist. de la Médecine, vol. i. pp. 232, 237; Sprengel, Hist. de la Médecine, vol. ii. p. 220; Geoffroy Saint-Hilaire, Hist. des Anomalies de l'Organisation, vol. iii. pp. 435, 436; Herder, Ideen zur Gesch. der Menschheit, vol. iii. p. 270; Lawrence's Lectures on Man, p. 36; and Burdach, Traité de Physiologie, vol. i. p. 190.

243

‘Auf das innigste verbunden mit der Theologie, nicht allein in den katholischen, sondern selbst auch in den protestantischen Ländern.’ Tennemann, Gesch. der Philos. vol. ix. p. 516. Descartes, in a letter to Mersenne (Œuvres, vol. vi. p. 73), writes, in 1629, ‘La théologie, laquelle on a tellement assujettie à Aristote, qu'il est impossible d'expliquer une autre philosophie qu'il ne semble d'abord qu'elle soit contre la foi.’ Compare vol. vii. p. 344, vol. viii. pp. 281, 497.

244

Dr. Brown (Philosophy of the Mind, Edinburgh, 1838, p. 172) calls Descartes ‘that illustrious rebel, who, in overthrowing the authority of Aristotle,’ &c. See also Duvernet, Hist. de la Sorbonne, vol. ii. p. 192; Cuvier, Hist. des Sciences, part ii. p. 532; and Locke's Works, vol. iii. p. 48. This, I need hardly say, refers to the habit of appealing to Aristotle, as if he were infallible, and is very different from that respect which is naturally felt for a man who was probably the greatest of all the ancient thinkers. The difference between the Aristotelian and Cartesian systems is touched on rather hastily in Cudworth's Intellect. Syst. vol. i. pp. 170, 171.

245

That is in 1661, when Louis XIV. first assumed the government.

246

M. Barante (Tableau de la Littérature Française, pp. 26, 27) notices ‘cette indépendance dans les idées, ce jugement audacieux de toutes choses, qu'on remarque dans Corneille, dans Mézéray, dans Balzac, dans Saint-Réal, dans Lamothe-Levayer.’ To these may be added Naudé, Patin, and probably Gassendi. Compare Hallam's Literat. of Europe, vol. ii. pp. 364, 365, with Mackintosh's Ethical Philos. p. 116, and Lettres de Patin, vol. i. p. 297, vol. ii. pp. 33, 186, 191, 242, 342, 498, 508, vol. iii. p. 87.

247

The increase of incredulity was so remarkable, as to give rise to a ridiculous assertion, ‘qu'il y avoit plus de 50,000 athées dans Paris vers l'an 1623.’ Baillet, Jugemens des Savans, Paris, 1722, 4to. vol. i. p. 185. Baillet has no difficulty in rejecting this preposterous statement (which is also noticed in Coleridge's Literary Remains, vol. i. p. 305; where, however, there is apparently a confusion between two different periods); but the spread of scepticism among the upper ranks and courtiers, during the reign of Louis XIII. and the minority of Louis XIV., is attested by a great variety of evidence. See Mém. de Madame de Motteville, vol. iii. p. 52; Mém. de Retz, vol. i. p. 266; Conrart, Mém. p. 235 note; Des Réaux, Historiettes, vol. vii. p. 143; Mém. de Brienne, vol. ii. p. 107 note.

248

Volumes might be written on the influence of Descartes, which was seen, not only in subjects immediately connected with his philosophy, but even in those apparently remote from it. Compare Broussais, Examen des Doctrines Médicales, vol. ii. pp. 55 seq.; Lettres de Patin, vol. iii. p. 153; Sprengel, Hist. de la Médecine, vol. iv. p. 238; Cuvier, Hist. des Sciences, part ii. pp. 327, 332, 352, 363; Stäudlin, Geschichte der theologischen Wissenschaften, vol. i. p. 263; Tennemann, Gesch. der Philos. vol. x. pp. 285 seq.; Huetius de Rebus ad eum pertinentibus, pp. 35, 295, 296, 385–389; Mosheim's Eccles. Hist. vol. ii. p. 258; Dacier, Rapport Historique, p. 334; Leslie's Nat. Philos. p. 121; Eloges, in Œuvres de Fontenelle, Paris, 1766, vol. v. pp. 94, 106, 137, 197, 234, 392, vol. vi. pp. 157, 318, 449; Thomson's Hist. of Chemistry, vol. i. p. 195; Quérard, France Lit. vol. iii. p. 273.

249

On the connexion between Richelieu and Mazarin, see Sismondi, Hist. des Français, vol. xxiii. pp. 400, 530; and a curious, though perhaps apocryphal anecdote in Tallemant des Réaux, Historiettes, vol. ii. pp. 231, 232. In 1636 there was noticed ‘l'étroite union’ between Richelieu and Mazarin. Le Vassor, Hist. de Louis XIII, vol. viii. part ii. p. 187.

250

‘Mazarin n'avoit ni fanatisme ni esprit persécuteur,’ Sismondi, Hist. des Français, vol. xxiv. p. 531. That he did not persecute the Protestants is grudgingly confessed in Felice's Hist. of the Protestants of France, p. 292. See also Smedley's Reformed Religion in France, vol. iii. p. 222.

251

He confirmed it in July, 1643. See Benoist, Hist. de l'Edit de Nantes, vol. iii. appendix, p. 3; and Quick's Synodicon in Gallia, vol. i. p. ciii.

252

In 1659, there was assembled the Synod of Loudon, the moderator of which said, ‘It is now fifteen years since we had a national synod.’ Quick's Synodicon in Gallia, vol. ii. p. 517.

253

Brienne records the determination of the king, ‘que cette dignité ne seroit plus accordée à des Protestans.’ Sismondi, Histoire des Français, vol. xxiv. p. 65.

254

He was so uneasy about the sin he had committed, that before his death he intreated the Protestant marshals to change their creed: ‘Il ne voulut pas mourir sans avoir exhorté de sa propre bouche les maréchaux de la Force et de Chatillon à se faire Catholiques.’ Benoist, Hist. de l'Edit de Nantes, vol. ii. p. 612. The same circumstance is mentioned by Le Vassor, Hist. de Louis XIII, vol. x. part ii. p. 785.

255

Louis XIII. died in May 1643; and Turenne was made marshal in the September following. Lavallée, Hist. des Français, vol. iii. pp. 148, 151.

256

Sismondi (Hist. des Français, vol. xxiv. p. 65) makes the appointment of Gassion in 1644; according to Montglat (Mémoires, vol. i. p. 437) it was at the end of 1643. There are some singular anecdotes of Gassion in Les Historiettes de Tallemant des Réaux, vol. v. pp. 167–180; and an account of his death in Mém. de Motteville, vol. ii. p. 290, from which it appears that he remained a Protestant to the last.

257

The Pope especially was offended by this alliance (Ranke, die Päpste, vol. iii. p. 158, compared with Vaughan's Cromwell, vol. i. p. 343, vol. ii. p. 124); and, judging from the language of Clarendon, the orthodox party in England was irritated by it. Clarendon's Hist. of the Rebellion, pp. 699, 700. Contemporary notices of this union between the cardinal and the regicide, will be found in Mém. de Retz, vol. i. p. 349; Mém. de Montglat, vol. ii. p. 478, vol. iii. p. 23; Lettres de Patin, vol. ii. pp. 183, 302, 426; Marchand, Dict. Historique, vol. ii. p. 56; Mem. of Sir Philip Warwick, p. 377; Harris's Lives of the Stuarts, vol. iii. p. 393.

258

De Retz (Mémoires, vol. i. p. 59), who knew Richelieu, calls Mazarin ‘son disciple.’ And at p. 65 he adds, ‘comme il marchoit sur les pas du cardinal de Richelieu, qui avoit achevé de détruire toutes les anciennes maximes de l'état.’ Compare Mém. de Motteville, vol. ii. p. 18; and Mém. de la Rochefoucauld, vol. i. p. 444.

259

On the open affront to the Pope by this treaty, see Ranke, die Päpste, vol. iii. p. 159: ‘An dem pyrenäischen Frieden nahm er auch nicht einmal mehr einen scheinbaren Antheil: man vermied es seine Abgeordneten zuzulassen: kaum wurde seiner noch darin gedacht.’ The consequences and the meaning of all this are well noticed by M. Ranke.

260

‘La presse jouissait d'une entière liberté pendant les troubles de la Fronde, et le public prenait un tel intérêt aux débats politiques, que les pamphlets se débitaient quelquefois au nombre de huit et dix mille exemplaires.’ Sainte–Aulaire, Hist. de la Fronde, vol. i. p. 299. Tallemant des Réaux, who wrote immediately after the Fronde, says (Historiettes, vol. iv. p. 74), ‘Durant la Fronde, qu'on imprimoit tout.’ And Omer Talon, with the indignation natural to a magistrate, mentions, that in 1649, ‘toutes sortes de libelles et de diffamations se publioient hautement par la ville sans permission du magistrat.’ Mém. d'Omer Talon, vol. ii. p. 466. For further evidence of the great importance of the press in France in the middle of the seventeenth century, see Mém. de Lenet, vol. i. p. 162; Mém. de Motteville, vol. iii. pp. 288, 289; Lettres de Patin, vol. i. p. 432, vol. ii. p. 517; Monteil, Hist. des divers Etats, vol. vii. p. 175.

In England, the Long Parliament succeeded to the licensing authority of the Star-chamber (Blackstone's Commentaries, vol. iv. p. 152); but it is evident from the literature of that time, that for a considerable period the power was in reality in abeyance. Both parties attacked each other freely through the press; and it is said that between the breaking out of the civil war and the restoration, there were published from 30,000 to 50,000 pamphlets. Morgan's Phœnix Britannicus, 1731, 4to. pp. iii. 557; Carlyle's Cromwell, vol. i. p. 4; Southey's Commonplace Book, third series, p. 449. See also on this great movement of the press, Bates's Account of the Late Troubles, part i. p. 78; Bulstrode's Memoirs, p. 4; Howell's Letters, p. 354; Hunt's Hist. of Newspapers, vol. i. p. 45; Clarendon's Hist. of the Rebellion, p. 81; Nichols's Lit. Anec. vol. iv. pp. 86, 102.

261

Dugald Stewart (Philos. of the Mind, vol. i. p. 357) says, ‘Nothing can be more just than the observation of Fontenelle, that “the number of those who believe in a system already established in the world, does not, in the least, add to its credibility; but that the number of those who doubt of it, has a tendency to diminish it.”’ Compare with this Newman on Development, Lond. 1845, p. 31; and the remark of Hylas in Berkeley's Works, edit. 1843, vol. i. pp. 151, 152, first dialogue.

262

Compare Capefigue's Richelieu, vol. i. p. 293, with a remarkable passage in Mém. de Rohan, vol. i. p. 317; where Rohan contrasts the religious wars he was engaged in during the administration of Richelieu, with those very different wars which had been waged in France a little earlier.

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