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David Copperfield – Tome I
David Copperfield – Tome I

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David Copperfield – Tome I

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– Et si M. Steerforth vient jamais en Norfolk ou en Suffolk, monsieur Peggotty, continuai-je, vous pouvez être bien sûr que je l'amènerai à Yarmouth pour voir votre maison. Vous n'avez jamais vu une si drôle de maison, Steerforth: elle est faite d'un bateau!

– Faite d'un bateau! dit Steerforth. Eh bien, c'est la maison qui convient à un marin pur-sang.

– C'est bien vrai, monsieur; c'est bien vrai, dit Ham en riant. Vous avez raison. Monsieur Davy, ce jeune monsieur a raison. Un marin pur-sang! Ah, ah! C'est bien ça.»

M. Peggotty était tout aussi ravi que son neveu, mais sa modestie ne lui permettait pas de s'approprier aussi bruyamment un compliment tout personnel.

«Mais oui, monsieur, dit-il en saluant et en rentrant les bouts de sa cravate dans son gilet; je vous suis obligé, monsieur, je vous remercie. Je fais de mon mieux, dans ma profession, monsieur.

– On ne peut rien demander de plus, monsieur Peggotty, dit Steerforth. Il savait déjà son nom.

– C'est ce que vous faites vous-même, j'en suis sûr, monsieur, dit M. Peggotty eu secouant la tête, et vous y réussissez, j'en suis certain, monsieur. Je vous remercie, monsieur, de m'avoir si bien accueilli. Je suis un peu rude, monsieur, mais je suis franc; je l'espère, du moins, vous comprenez. Ma maison n'est pas belle, monsieur, mais elle est toute à votre service, si jamais vous voulez venir la voir avec M. Davy. Mais je reste là comme un colimaçon, dit M. Peggotty, ce qui signifiait qu'il restait attaché là, sans pouvoir s'en aller. Il avait essayé, après chaque phrase, de se retirer, mais sans jamais en venir à bout. «Allons, je vous souhaite une bonne santé et bien du bonheur.»

Ham s'associa à ce voeu, et nous nous quittâmes le plus affectueusement du monde. J'avais un peu envie, ce soir-là, de parler à Steerforth de la jolie petite Émilie, mais la timidité me retint, j'avais trop peur qu'il ne se moquât de moi. Je réfléchis longuement, et non sans anxiété, à ce qu'avait dit M. Peggotty, qu'elle devenait une femme; mais je décidai en moi-même que c'était une bêtise.

Nous transportâmes nos crustacés dons notre dortoir avec un profond mystère, et nous fîmes un grand souper. Mais Traddles n'en sortit pas à son honneur. Il n'avait pas de chance: il ne pouvait pas même se tirer d'un souper comme un autre. Il fut malade toute la nuit, mais malade comme il n'est pas possible, grâce au crabe; et après avoir été forcé d'avaler des médecines noires et des pilules, à une dose suffisante pour tuer un cheval, du moins s'il faut en croire Demple (dont le père était docteur), il eut encore des coups de canne par-dessus le marché avec six chapitres grecs du Nouveau Testament à traduire, pour le punir de n'avoir voulu faire aucun aveu.

Le reste du semestre se confond dans mon esprit avec la routine journalière de notre triste vie: l'été a fini et l'automne est venu; il fait froid le matin, à l'heure où on se lève; quand on se couche, la nuit est plus froide encore; le soir, notre salle d'études est mal éclairée et mal chauffée, le matin c'est une vraie glacière; nous passons du boeuf bouilli au boeuf rôti, et du mouton rôti au mouton bouilli; nous mangeons du pain avec du beurre rance; puis c'est un horrible mélange de livres déchirés, d'ardoises fêlées, de cahiers salis par nos larmes, de coups de canne, de coups de règle, de cheveux coupés, de dimanches pluvieux et de puddings aigres: le tout enveloppé d'une épaisse atmosphère d'encre.

Je me rappelle cependant que la lointaine perspective des vacances, après être restée longtemps immobile, semble enfin se rapprocher de nous; que nous en vînmes bientôt à ne plus compter par mois, ni par semaines, mais bien par jours; que j'avais peur qu'on ne me rappelât pas chez ma mère, et que, lorsque j'appris de Steerforth que ma mère me réclamait, je fus saisi d'une vague terreur à l'idée que je me casserais peut-être la jambe avant le jour fixé pour mon départ. Je me rappelle que je sentais ce jour béni se rapprocher d'heure en heure. C'est la semaine prochaine, c'est cette semaine, c'est après-demain, c'est demain, c'est aujourd'hui, c'est ce soir; je monte dans la malle-poste de Yarmouth, je vais revoir ma mère.

Je fis bien des sommes à bâtons rompus dans la malle-poste, et bien des rêves incohérents où se retrouvaient toutes ces pensées et ces souvenirs. Mais quand je me réveillais de temps à autre, j'avais le bonheur de reconnaître, par la portière de la voiture, que le gazon que je voyais n'était pas celui de la récréation de Salem-House, et que le bruit que j'entendais n'était plus celui des coups que Creakle administrait à Traddles, mais celui du fouet dont le cocher touchait ses chevaux.

CHAPITRE VIII

Mes vacances, et en particulier certaine après-midi où je fus bien heureux

À la pointe du jour, en arrivant à l'auberge où s'arrêtait la malle poste (ce n'était pas celle dont je connaissais trop bien le garçon), on me mena dans une petite chambre très-propre sur laquelle était inscrit le nom de DAUPHIN. J'étais gelé en dépit de la tasse de thé chaud qu'on m'avait donnée, et du grand feu près duquel je m'étais installé pour la boire, et je me couchai avec délices dans le lit du Dauphin, en m'enveloppant dans les couvertures du Dauphin jusqu'au col, puis je m'endormis.

M. Barkis, le messager, devait venir me chercher à neuf heures. Je me levai à huit heures, un peu fatigué par une nuit si courte, et j'étais prêt avant le temps marqué. Il me reçut exactement comme si nous venions de nous quitter quelques minutes auparavant, et que je ne fusse entré dans l'hôtel que pour changer une pièce de six pence.

Dès que je fus monté dans la voiture avec ma malle, le conducteur reprit son siège et le cheval partit à son petit trot accoutumé.

«Vous avez très-bonne mine, monsieur Barkis, lui dis-je, dans l'idée qu'il serait bien aise de l'apprendre.»

M. Barkis s'essuya la joue avec sa manche, puis regarda sa manche comme s'il s'attendait à y trouver quelque trace de la fraîcheur de son teint mais ce fut tout ce qu'obtint mon compliment.

«J'ai fait votre commission, monsieur Barkis, repris-je, j'ai écrit à Peggotty.

«Ah! dit M. Barkis qui semblait de mauvaise humeur et répondait d'un ton sec.

– Est-ce que je n'ai pas bien fait, monsieur Barkis? demandai-je avec un peu d'hésitation.

– Mais non, dit M. Barkis.

– N'était-ce pas là votre commission?

– La commission a peut-être été bien faite, dit M. Barkis, mais tout en est resté là.»

Ne comprenant pas ce qu'il voulait dire, je répétai d'un air interrogateur:

«Tout en est resté là, monsieur Barkis?

– Oui, répondit-il en me jetant un regard de côté. Il n'y a pas eu de réponse.

– On attendait donc une réponse, monsieur Barkis? dis-je en ouvrant les yeux, car l'idée était toute nouvelle pour moi.

– Quand un homme dit qu'il veut bien, dit M. Barkis en tournant lentement vers moi ses regards, c'est comme si on disait que cet homme attend une réponse.

– Eh bien! monsieur Barkis?

– Eh bien, dit M. Barkis en reportant son attention sur les oreilles de son cheval, on est encore à attendre une réponse depuis ce moment-là.

– En avez-vous parlé, monsieur Barkis?

– Non… non… grommela M. Barkis d'un air pensif, je n'ai pas de raison d'aller lui parler. Je ne lui ai jamais adressé dix paroles. Je n'ai pas envie d'aller lui conter ça.

– Voulez-vous que je m'en charge, monsieur Barkis? demandai-je d'un ton timide.

– Vous pouvez lui dire si vous voulez, dit M. Barkis en me regardant de nouveau, que Barkis attend une réponse. Vous dites que le nom est?..

– Son nom?

– Oui, dit M. Barkis avec un signe de tête.

– Peggotty.

– Nom de baptême ou nom propre? dit M. Barkis.

– Oh! ce n'est pas son nom de baptême. Elle s'appelle Clara.

– Est-il possible! dit M. Barkis.»

Il semblait trouver ample matière à réflexions dans cette circonstance, car il resta plongé dans ses méditations pendant quelque temps.

«Eh bien, reprit-il enfin. Dites: «Peggotty, Barkis attend une réponse. «Une réponse, à quoi? dira-t-elle peut-être. Alors vous direz «à ce dont je vous ai parlé. «De quoi m'avez vous parlé?» dira-t-elle. Vous répondrez, «Barkis veut bien.»

À cette suggestion pleine d'artifice, M. Barkis ajouta un coup de coude qui me donna un point de côté. Après quoi il concentra toute son attention sur son cheval comme d'habitude, et ne fit plus d'allusion au même sujet. Seulement au bout d'une demi-heure, il tira un morceau de craie de sa poche et écrivit dans l'intérieur de sa carriole: «Clara Peggotty» probablement pour se souvenir du nom.

Quel étrange sentiment j'éprouvais: revenir chez moi, en sentant que je n'y étais pas chez moi, et me voir rappeler par tous les objets qui frappaient mes regards le bonheur du temps passé qui n'était plus à mes yeux qu'un rêve évanoui! Le souvenir du temps où ma mère et moi et Peggotty nous ne faisions qu'un, où personne ne venait se placer entre nous, m'assaillit si vivement sur la route, que je n'étais pas bien sûr de ne pas regretter d'être venu si loin au lieu de rester là-bas à oublier tout cela dans la compagnie de Steerforth. Mais j'arrivais à la maison, et les branches dépouillées des vieux ormes se tordaient sous les coups du vent d'hiver qui emportait sur ses ailes les débris des nids des vieux corbeaux.

Le conducteur déposa ma malle à la porte du jardin et me quitta. Je pris le sentier qui menait à la maison, en regardant toutes les fenêtres, craignant, à chaque pas, d'apercevoir à l'une d'elles le visage rébarbatif de M. Murdstone ou de sa soeur. Je ne vis personne, et arrivé à la maison, j'ouvris la porte sans frapper. Il ne faisait pas nuit encore, et j'entrai d'un pas léger et timide.

Dieu sait comme ma mémoire enfantine se réveilla dans mon esprit au moment où j'entrai dans le vestibule, en entendant la voix de ma mère quand je mis le pied dans le petit salon. Elle chantait à voix basse, tout comme je l'avais entendue chanter quand j'étais un tout petit enfant reposant dans ses bras. L'air était nouveau pour moi, et pourtant il me remplit le coeur à pleins bords, et je l'accueillis comme un vieil ami après une longue absence.

Je crus, à la manière pensive et solitaire dont ma mère murmurait sa chanson, qu'elle était seule, et j'entrai doucement dans sa chambre. Elle était assise près du feu, allaitant un petit enfant dont elle serrait la main contre son cou. Elle le regardait gaiement et l'endormait en chantant. Elle n'avait point d'autre compagnie.

Je parlai, elle tressaillit et poussa un cri, puis m'apercevant, elle m'appela son David, son cher enfant, et venant au devant de moi, elle s'agenouilla au milieu de la chambre et m'embrassa en attirant ma tête sur son sein près de la petite créature qui y reposait, et elle approcha la main de l'enfant de mes lèvres. Je regrette de ne pas être mort alors. Il aurait mieux valu pour moi mourir dans les sentiments dont mon coeur débordait en ce moment. J'étais plus près du ciel que cela ne m'est jamais arrivé depuis.

«C'est ton frère, dit ma mère en me caressant, David, mon bon garçon! Mon pauvre enfant!» et elle m'embrassait toujours en me serrant dans ses bras. Elle me tenait encore quand Peggotty entra en courant et se jeta à terre à côté de nous, faisant toute sorte de folies pendant un quart d'heure.

On ne m'attendait pas sitôt, le conducteur avait devancé l'heure ordinaire. J'appris bientôt que M. et miss Murdstone étaient allés faire une visite dans les environs et qu'ils ne reviendraient que dans la soirée. Je n'avais pas rêvé tant de bonheur. Je n'avais jamais cru possible de retrouver ma mère et Peggotty seules encore une fois; et je me crus un moment revenu au temps jadis.

Nous dînâmes ensemble au coin du feu. Peggotty voulait nous servir, mais ma mère la fit asseoir et manger avec nous. J'avais ma vieille assiette avec son fond brun représentant un vaisseau de guerre voguant à pleines voiles. Peggotty l'avait cachée depuis mon départ, elle n'aurait pas voulu pour cent livres sterling, dit-elle, qu'elle fût cassée. Je retrouvai aussi ma vieille timbale avec mon nom gravé dessus, et ma petite fourchette, et mon couteau qui ne coupait pas.

À dîner, je crus l'occasion favorable pour parler de M. Barkis à Peggotty, mais avant la fin de mon récit, elle se mit à rire et se couvrit la figure de son tablier.

«Peggotty, dit ma mère, de quoi s'agit-il? Peggotty riait encore plus fort, et serrait contre sa figure le tablier que ma mère essayait de tirer; elle avait l'air de s'être mis la tête dans un sac.

«Que faites-vous donc, folle que vous êtes? dit ma mère en riant.

– Oh! le drôle d'homme, s'écria Peggotty. Il veut m'épouser.

– Ce serait un très-bon parti pour vous, n'est-ce pas? dit ma mère.

– Oh! je n'en sais rien, dit Peggotty. Ne m'en parlez pas. Je ne voudrais pas de lui quand il aurait son pesant d'or. D'ailleurs je ne veux de personne.

– Alors, pourquoi ne le lui dites-vous pas?

– Le lui dire, dit Peggotty en écartant un peu son tablier. Mais il ne m'en a jamais dit un mot lui-même. Il s'en garde bien. S'il avait l'audace de m'en parler je lui donnerais un bon soufflet.»

Elle était rouge, rouge comme le feu, mais elle se cacha de nouveau dans son tablier, et après deux ou trois violents accès d'hilarité, elle reprit son dîner.

Je remarquai que ma mère souriait quand Peggotty la regardait mais que sans cela elle avait pris un air sérieux et pensif. J'avais vu dès le premier moment qu'elle était changée. Son visage était toujours charmant, mais délicat et soucieux, et ses mains étaient si maigres et si blanches qu'elles me semblaient presque transparentes. Mais un nouveau changement venait de se faire dans ses manières, elle semblait inquiète et agitée. Enfin elle avança la main et la posa sur celle de sa vieille servante en lui disant d'un ton affectueux.

«Peggotty, ma chère, vous n'allez pas vous marier?

– Moi, madame, répondit Peggotty en ouvrant de grands yeux, bien certainement non!

– Pas tout de suite? insista tendrement ma mère.

– Jamais, dit Peggotty.»

Ma mère lui prit la main et lui dit:

«Ne me quittez pas, Peggotty, restez avec moi. Ce ne sera peut- être pas bien long. Qu'est-ce que je deviendrais sans vous?

– Moi, vous quitter, ma chérie! s'écria Peggotty. Pas pour tout l'or du monde. Mais qui est-ce qui a pu mettre une semblable idée dans votre petite tête?» Car Peggotty avait depuis longtemps l'habitude de parler quelquefois à ma mère comme à un enfant.

Ma mère ne répondit que pour remercier Peggotty, qui continua à sa façon.

«Moi, vous quitter! il me semble que je n'en ai pas envie. Peggotty, vous quitter! Je voudrais bien voir cela! Non, non, non, dit Peggotty en secouant la tête et en se croisant les bras, il n'y a pas de danger ma chérie. Ce n'est pas qu'il n'y ait de bonnes âmes qui en seraient fort aises, mais on ne s'inquiète guère de ce qui leur plaît. Tant pis pour eux s'ils sont mécontents; je resterai avec vous jusqu'à ce que je sois une vieille femme impotente. Et quand je serai trop sourde, trop infirme, trop aveugle, que je ne pourrai plus parler faute de dents, et que je ne serai plus bonne à rien, même à me faire gronder, j'irai trouver mon David et je le prierai de me recueillir.

– Et je serai bien content de vous voir, Peggotty, et je vous recevrai comme une reine.

– Dieu bénisse votre bon coeur! dit Peggotty, j'en étais bien sûre;» et elle m'embrassa d'avance en reconnaissance de mon hospitalité. Après cela elle se couvrit de nouveau la tête de son tablier, et se mit à rire encore de M. Barkis; après cela elle prit mon petit frère dans son berceau et donna quelques soins à sa toilette; après cela elle desservit le dîner; après cela elle reparut avec un autre bonnet, sa boîte à ouvrage, son mètre, le morceau de cire pour lisser son fil, tout enfin comme par le passé.

Nous étions assis auprès du feu, et nous causions avec délices. Je leur racontai comme M. Creakle était un maître sévère, et elles me témoignèrent une grande compassion. Je leur dis aussi quel bon et aimable garçon c'était que Steerforth et comme il me protégeait, et Peggotty déclara qu'elle ferait bien six lieues à pied pour aller le voir. Mon petit frère se réveillait et je le pris dans mes bras tout doucement pour l'endormir, puis je me glissai près de ma mère comme j'en avais l'habitude autrefois, et je mis mes bras autour de sa taille, en appuyant ma tête sur son épaule, et ses cheveux tombaient sur moi comme les ailes d'un ange. Dieu! que j'étais heureux!

Assis ainsi devant le feu, à voir des figures innombrables dans les charbons ardents, il me semblait presque que celles de M. et miss Murdstone n'existaient que dans mon imagination et qu'elles disparaîtraient comme les autres quand le feu s'éteindrait, mais qu'au fond il n'y avait de réel, dans tous mes souvenirs, que ma mère, Peggotty et moi.

Peggotty ravaudait un bas, elle y travailla tant qu'il fit jour, et resta ensuite la main gauche dans son bas comme dans un gant, et son aiguille dans la main droite prête à faire un point quand le feu jetterait un éclat de lumière. Je ne puis imaginer à qui appartenaient les bas que Peggotty ravaudait toujours, ni d'où pouvait venir une provision si inépuisable de bas à raccommoder. Depuis ma plus tendre enfance je l'ai toujours vue occupée de ce genre de travaux à l'aiguille et de celui-là seulement.

«Je me demande, dit Peggotty qui était saisie parfois d'accès de curiosité dans lesquels elle s'adressait des questions sur les sujets les plus inattendus, je me demande ce qu'est devenue la grand'tante de Davy?

– Bon Dieu! Peggotty! dit ma mère sortant de sa rêverie, quelles folies vous dites!

– Mais, madame, je vous assure vraiment que cela m'étonne, dit Peggotty.

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1

Une rookery, en Angleterre, est une colonie de corneilles (rooks) qu'on laisse nicher et pulluler dans les hauts arbres des avenues ou des massifs qui avoisinent les châteaux. On les garde avec soin comme un signe aristocratique de l'ancienneté du domaine.

2

Cuisinerie, si le mot était français.

3

Peggotty voulait parler

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