
Полная версия
History of Civilization in England, Vol. 2 of 3
Ibid. xxxiii. 553.
679
Lettres de Dudeffand à Walpole, i. 22, iii. 307, iv. 207.
680
Biog. Univ. xxxvi. 305, 306.
681
Ibid. xxxviii. 174.
682
Peignot, Dict. des Livres, ii. 233.
683
Quérard, viii. 111.
684
Biog. Univ. xxxix. 84.
685
Biog. des Hommes Vivants, v. 294.
686
Quérard, viii. 474.
687
Biog. Univ. xli. 426.
688
Ibid. xlii. 45, 46.
689
Ibid. xlii. 389.
690
Ibid. xliii. 181.
691
Garrick Correspond. ii. 604; Mém. de Genlis, vi. 205.
692
Biog. Univ. xliv. 512.
693
Life of Roscoe, by his Son, i. 200.
694
Biog. Univ. xlvi. 398, 399.
695
Ibid. xlvi. 497.
696
Quérard, iv. 45, ix. 558.
697
Biog. Univ. xlvii. 98.
698
Ibid. xlvii. 232.
699
Mém. de Brissot, i. 78.
700
Biog. Univ. xlviii. 217, 218.
701
Ibid. xlix. 223.
702
‘Nous avons mis depuis peu leur langue au rang des langues savantes; les femmes même l'apprennent, et ont renoncé à l'italien pour étudier celle de ce peuple philosophe. Il n'est point dans la province d'Armande et de Belise qui ne veuille savoir l'anglois.’ Le Blanc, Lettres, vol. ii. p. 465. Compare Grimm, Corresp. vol. xiv. p. 484; and Nichols's Lit. Anec. vol. iii. pp. 460, 461.
703
Williams's Letters from France, vol. iii. p. 68, 2nd edit. 1796; Biog. Univ. vol. vii. p. 192.
704
Adolphus's Biog. Mem. 1799, vol. i. p. 352.
705
Lady Morgan's France, vol. ii. p. 304; Mém. de Lafayette, vol. i. pp. 41, 49, 70, vol. ii. pp. 26, 74, 83, 89.
706
Quérard, France Littéraire, vol. iv. p. 540.
707
The last authors he read, shortly before his execution, were Young and Hervey. Lamartine, Hist. des Girondins, vol. viii. p. 45. In 1769 Madame Riccoboni writes from Paris, that Young's Night Thoughts had become very popular there; and she justly adds, ‘c'est une preuve sans réplique du changement de l'esprit français.’ Garrick Correspondence, vol. ii. p. 566, 4to. 1832.
708
Lamartine, Hist. des Girondins, vol. iv. p. 119; Mém. de Brissot, vol. i. pp. 336, 337, vol. ii. p. 3.
709
‘Une des supériorités secondaires, une des supériorités d'étude qui appartenaient à Mirabeau, c'était la profonde connaissance, la vive intelligence de la constitution anglaise, de ses ressorts publics et de ses ressorts cachés.’ Villemain, Lit. au XVIIIe Siècle, vol. iv. p. 153.
710
Particularly the democratic passages, ‘un corps de doctrine de tous ses écrits républicains.’ Dumont, Souvenirs sur Mirabeau, p. 119. As to his translation of Watson, see Alison's Europe, vol. i. p. 452. He also intended to translate Sinclair's History of the Revenue. Correspond. of Sir J. Sinclair, vol. ii. p. 119.
711
Prior's Life of Burke, p. 546, 3rd edit. 1839.
712
‘Il étudiait leur langue, la théorie et plus encore la pratique de leurs institutions.’ Biog. Univ. vol. xxx. p. 310.
713
Continuation de Sismondi, Hist. des Français, vol. xxx. p. 434. Montlosier (Monarchie Française, vol. ii. p. 340) says that this idea was borrowed from England; but he does not mention who suggested it.
714
Du Mesnil, Mém. sur Le Brun, pp. 10, 14, 29, 82, 180, 182.
715
Mém. de Brissot, vol. i. pp. 63, 64, vol. ii. pp. 25, 40, 188, 206, 260, 313.
716
Dupont de Nemours (Mém. sur Turgot, p. 117) says of criminal jurisprudence, ‘M. de Condorcet proposait en modèle celle des Anglais.’
717
Mém. de Roland, vol. i. pp. 27, 55, 89, 136, vol. ii. pp. 99, 135, 253.
718
‘Le duc d'Orléans puisa ainsi le goût de la liberté dans la vie de Londres. Il en rapporta en France les habitudes d'insolence contre la cour, l'appétit des agitations populaires, le mépris pour son propre rang, la familiarité avec la foule,’ &c. Lamartine, Hist. des Girondins, vol. ii. p. 102.
719
M. Lerminier (Philos. du Droit, vol. i. p. 19) says of England, ‘cette île célèbre donne à l'Europe l'enseignement de la liberté politique; elle en fut l'école au dix–huitième siècle pour tout ce que l'Europe eut de penseurs.’ See also Soulavie, Règne de Louis XVI, vol. iii. p. 161; Mém. de Marmontel, vol. iv. pp. 38, 39; Stäudlin, Gesch. der theolog. Wissenschaften, vol. ii. p. 291.
720
Hume, who was acquainted with several eminent Frenchmen who visited England, says (Philosophical Works, vol. iii. p. 8), ‘nothing is more apt to surprise a foreigner than the extreme liberty which we enjoy in this country, of communicating whatever we please to the public, and of openly censuring every measure entered into by the king or his ministers.’
721
‘La nation anglaise est la seule de la terre qui soit parvenue à régler le pouvoir des rois en leur résistant.’ Lettre VIII sur les Anglais, in Œuvres de Voltaire, vol. xxvi. p. 37.
722
‘Que j'aime la hardiesse anglaise! que j'aime les gens qui disent ce qu'ils pensent!’ Letter from Voltaire, in Correspond. de Dudeffand, vol. ii. p. 263. For other instances of his admiration of England, see Œuvres de Voltaire, vol. xl. pp. 105–109; vol. li. pp. 137, 390; vol. liv. pp. 298, 392; vol. lvi. pp. 162, 163, 195, 196, 270; vol. lvii. p. 500; vol. lviii. pp. 128, 267; vol. lix. pp. 265, 361; vol. lx. p. 501; vol. lxi. pp. 43, 73, 129, 140, 474, 475; vol. lxii. pp. 343, 379, 392; vol. lxiii. pp. 128, 146, 190, 196, 226, 237, 415; vol. lxiv. pp. 36, 96, 269; vol. lxvi. pp. 93, 159; vol. lxvii. pp. 353, 484.
723
‘Ils veulent un roi, aux conditions, pour ainsi dire, de ne lui point obéir.’ Le Blanc, Lettres d'un François, vol. i. p. 210.
724
‘Il y a aussi une nation dans le monde qui a pour objet direct de sa constitution la liberté politique.’ Esprit des Lois, livre xi. chap. v. in Œuvres de Montesquieu, p. 264. Conversely De Staël (Consid. sur la Rév. vol. iii. p. 261), ‘la liberté politique est le moyen suprême.’
725
‘L'Angleterre est à présent le plus libre pays qui soit au monde, je n'en excepte aucune république.’ Notes sur l'Angleterre, in Œuvres de Montesquieu, p. 632.
726
‘Une nation où la république se cache sous la forme de la monarchie.’ Esprit des Lois, livre v. chap. xix. in Œuvres de Montesquieu, page 225; also quoted in Bancroft's American Revolution, vol. ii. p. 36.
727
Grosley's Tour to London, vol. i. pp. 16, 17.
728
Mably, Observ. sur l'Hist. de France, vol. ii. p. 185.
729
Helvétius de l'Esprit. vol. i. pp. 102, 199: ‘un pays où le peuple est respecté comme en Angleterre; … un pays où chaque citoyen a part au maniement des affaires générales, où tout homme d'esprit peut éclairer le public sur ses véritables intérêts.’
730
Mém. de Brissot, vol. ii. p. 25.
731
Condorcet, Vie de Voltaire, pp. 118, 119; Duvernet, Vie de Voltaire, pp. 30, 32; Longchamp et Wagnière, Mém. sur Voltaire, vol. i. p. 22.
732
Duvernet, Vie de Voltaire, pp. 46–48; Condorcet, Vie de Voltaire, pp. 125, 126. Compare vol. lvi. p. 162; Lepan, Vie de Voltaire, 1837, pp. 70, 71; and Biog. Univ. vol. xlix. p. 468. Duvernet, who, writing from materials supplied by Voltaire, had the best means of information, gives a specimen of the fine feeling of a French duke in the eighteenth century. He says, that, directly after Rohan had inflicted this public chastisement, ‘Voltaire rentre dans l'hôtel, demande au duc de Sully de regarder cet outrage fait à l'un de ses convives, comme fait à lui-même: il le sollicite de se joindre à lui pour en poursuivre la vengeance, et de venir chez un commissaire en certifier la déposition. Le duc de Sully se refuse à tout.’
733
‘L'Histoire de Charles XII, dont on avait arrêté une première édition après l'avoir autorisée.’ Biog. Univ. vol. xlix. p. 470. Comp. Nichols's Lit. Anec. vol. i. p. 388.
734
Duvernet, Vie de Voltaire, pp. 63–65; Condorcet, Vie de Voltaire, pp. 138–140; Lepan, Vie de Voltaire, pp. 93, 381.
735
The indignation of Voltaire appears in many of his letters; and he often announced to his friends his intention of quitting for ever a country where he was liable to such treatment. See Œuvres de Voltaire, vol. liv. pp. 58, 335, 336, vol. lv. p. 229, vol. lvi. pp. 162, 163, 358, 447, 464, 465, vol. lvii. pp. 144, 145, 155, 156, vol. lviii. pp. 36, 222, 223, 516, 517, 519, 520, 525, 526, 563, vol. lix. pp. 107, 116, 188, 208.
736
Œuvres de Voltaire, vol. i. pp. 147, 315, vol. lvii. pp. 211, 215, 219, 247, 295; Villemain, Lit. au XVIIIe Siècle, vol. i. p. 14; Brougham's Men of Letters, vol. i. pp. 53, 60.
737
Grimm, Correspond. vol. i. pp. 90–95, vol. ii. p. 399; Biog. Univ. vol. xi. p. 316; Brougham's Men of Letters, vol. ii. p. 439.
738
Boucher de la Richarderie, Bibliothèque des Voyages, vol. iii. pp. 390–393, Paris, 1808: ‘La distribution en France de la traduction de ce voyage fut arrêtée pendant quelque temps par des ordres supérieurs du gouvernement… Il y a tout lieu de croire que les ministres de France crurent, ou feignirent de croire, que le passage en question pouvoit donner lieu à des applications sur le goût effréné de Louis XV pour la chasse, et inspirèrent aisément cette prévention à un prince très-sensible, comme on sait, aux censures les plus indirectes de sa passion pour ce genre d'amusement.’ See also the account of Imbert, the translator, in Biog. Univ. vol. xxi. p. 200.
739
Grimm, Correspond. vol. vi. pp. 161, 162; the crime being, ‘qu'un janséniste avait osé imprimer que Julien, apostat exécrable aux yeux d'un bon chrétien, n'était pourtant pas un homme sans quelques bonnes qualités à en juger mondainement.’
740
M. Bunsen (Egypt, vol. i. p. 14) refers to Fréret's ‘acute treatise on the Babylonian year;’ and Turgot, in his Etymologie, says (Œuvres de Turgot, vol. iii. p. 83), ‘l'illustre Fréret, un des savans qui ont su le mieux appliquer la philosophie à l'érudition.’
741
This was at the very outset of his career: ‘En 1715, l'homme qui devait illustrer l'érudition française au xviiie siècle, Fréret, était mis à la Bastille pour avoir avancé, dans un mémoire sur l'origine des Français, que les Francs ne formaient pas une nation à part, et que leurs premiers chefs avaient reçu de l'empire romain le titre de patrices.’ Villemain, Lit. au XVIIIe Siècle, vol. ii. p. 30: see also Nichols's Lit. Anec. vol. ii. p. 510.
742
He was imprisoned in the Bastille, for the first time, in 1725; then in 1743, in 1750, and finally in 1751. Biographie Universelle, vol. xxiv. p. 85.
743
In 1743, Voltaire writes: ‘On vient de mettre à la Bastille l'abbé Lenglet, pour avoir publié des mémoires déjà très-connus, qui servent de supplément à l'histoire de notre célèbre De Thou. L'infatigable et malheureux Lenglet rendait un signalé service aux bons citoyens, et aux amateurs des recherches historiques. Il méritait des récompenses; on l'emprisonne cruellement à l'âge de soixante-huit ans.’ Œuvres de Voltaire, vol. i. pp. 400, 401, vol. lviii. pp. 207, 208.
744
Musset Pathay, Vie de Rousseau, vol. i. pp. 68, 99, 296, 377, vol. ii. pp. 111, 385, 390; Mercier sur Rousseau, vol. i. p. 14, vol. ii. pp. 179, 314.
745
Grimm, Corresp. vol. ii. p. 349; Walpole's Letters, 1840, vol. iii. p. 418.
746
Lyell's Principles of Geology, pp. 39, 40; Mém. of Mallet du Pan, vol. i. p. 125.
747
Soulavie, Règne de Louis XVI, vol. ii. p. 214; Williams's Letters from France, vol. ii. p. 86, 3rd edit. 1796.
748
Mém. de Ségur, vol. i. p. 253; Mém. de Lafayette, vol. ii. p. 34 note; Lettres de Dudeffand à Walpole, vol. ii. p. 365. On Raynal's flight, compare a letter from Marseilles, written in 1786, and printed in Mem. and Correspond. of Sir J. E. Smith, vol. i. p. 194.
749
See the proceedings of the avocat-général, in Peignot, Livres condamnés, vol. i. pp. 230, 231; and in Soulavie, Règne de Louis XVI, vol. iii. pp. 93–97.
750
Quérard, France Lit. vol. v. p. 565.
751
Peignot, Livres condamnés, vol. i. pp. 241, 242.
752
Biog. Univ. vol. xxiv. p. 561; Œuvres de Voltaire, vol. lxix. pp. 374, 375; Lettres inédites de Voltaire, vol. ii. p. 528; Duvernet, Vie de Voltaire, pp. 202, 203. According to some of these authorities, parliament afterwards revoked this sentence; but there is no doubt that the sentence was passed, and De Sales imprisoned, if not banished.
753
Peignot, Livres condamnés, vol. i. pp. 314, 316.
754
Œuvres de Voltaire, vol. lxix. p. 204; Lettres de Dudeffand à Walpole, vol. iii. p. 260.
755
'Quatre mémoires … condamnés à être lacérés et brûlés par la main du bourreau.' Peignot, vol. i. p. 24.
756
Biog. Univ. vol. xxiii. p. 187.
757
Duvernet, Hist. de la Sorbonne, vol. i. p. vi.
758
‘Supprimée par arrêt du conseil’ in 1771, which was the year of its publication. Compare Cassagnac's Révolution, vol. i. p. 33; Biog. Univ. vol. xxiv. p. 634.
759
Quérard, France Lit. vol. iii. p. 337.
760
Biog. Univ. vol. x. p. 97.
761
Peignot, vol. i. p. 328.
762
ibid. vol. i. p. 289.
763
Biog. Univ. vol. vii. p. 227.
764
Lettres d'Aguesseau, vol. ii. pp. 320, 321.
765
Cassagnac, Causes de la Rév. vol. i. p. 32.
766
Biog. Univ. vol. iii. p. 375.
767
Quérard, vol. iii. p. 489.
768
Ibid. vol. vii. pp. 483, 484.
769
Ibid. vol. iii. p. 302.
770
Ibid. vol. iii. p. 261.
771
On the importance of this remarkable thesis, and on its prohibition, see Saint-Hilaire, Anomalies de l'Organisation, vol. i. p. 355.
772
Quérard, vol. iv. p. 255.
773
Biog. Univ. vol. xv. p. 203.
774
Ibid. vol. xxi. p. 391.
775
Ibid. vol. xlv. p. 462, vol. xlvii. p. 98.
776
Peignot, vol. i. pp. 90, 91, vol. ii. p. 164.
777
Ibid. vol. i. p. 170, vol. ii. p. 57.
778
Ibid. vol. ii. p. 214.
779
‘Il resta trois ans dans la cage; c'est un caveau creusé dans le roc, de huit pieds en carré, où le prisonnier ne reçoit le jour que par les crevasses des marches de l'église.’ Biog. Univ. vol. xi. p. 171.
780
Peignot, Livres condamnés, vol. i. pp. 14, 15.
781
Mémoires de Marmontel, vol. ii. pp. 143–176; and see vol. iii. pp. 30–46, 95, for the treatment he afterwards received from the Sorbonne, because he advocated religious toleration. See also Œuvres de Voltaire, vol. liv. p. 258; and Letters of Eminent Persons addressed to Hume, pp. 207, 212, 213.
782
Mém. de Morellet, vol. i. pp. 86–89; Mélanges par Morellet, vol. ii. pp. 3–12; Œuvres de Voltaire, vol. liv. pp. 106, 111, 114, 122, 183.
783
Marmontel (Mém. vol. ii. p. 313) says, ‘qui n'a connu Diderot que dans ses écrits ne l'a point connu:’ meaning that his works were inferior to his talk. His conversational powers are noticed by Ségur, who disliked him, and by Georgel, who hated him. Ségur, Souvenirs, vol. iii. p. 34; Georgel, Mém. vol. ii. p. 246. Compare Forster's Life of Goldsmith, vol. i. p. 69; Musset Pathay, Vie de Rousseau, vol. i. p. 95, vol. ii. p. 227; Mémoires d'Epinay, vol. ii. pp. 73, 74, 88; Grimm, Corresp. vol. xv. pp. 79–90; Morellet, Mém. vol. i. p. 28; Villemain, Lit. au XVIIIe Siècle, vol. i. p. 82.
As to Holbach's dinners, on which Madame de Genlis wrote a well-known libel, see Schlosser's Eighteenth Century, vol. i. p. 166; Biog. Univ. vol. xx. p. 462; Jesse's Selwyn, vol. ii. p. 9; Walpole's Letters to Mann, vol. iv. p. 283; Gibbon's Miscellaneous Works, p. 73.
784
It is also stated by the editor of his correspondence, that he wrote a great deal for authors, which they published under their name. Mém. et Corresp. de Diderot, vol. iii. p. 102.
785
This was the Pensées Philosophiques, in 1746, his first original work; the previous ones being translations from English. Biog. Univ. xi. p. 314. Duvernet (Vie de Voltaire, p. 240) says, that he was imprisoned for writing it, but this I believe is a mistake; at least I do not remember to have met with the statement elsewhere, and Duvernet is frequently careless.
786
Dugald Stewart, who has collected some important evidence on this subject, has confirmed several of the views put forward by Diderot. Philos. of the Mind, vol. iii. pp. 401 seq.; comp. pp. 57, 407, 435. Since then still greater attention has been paid to the education of the blind, and it has been remarked that ‘it is an exceedingly difficult task to teach them to think accurately.’ M. Alister's Essay on the Blind, in Jour. of Stat. Soc. vol. i. p. 378: see also Dr. Fowler, in Report of Brit. Assoc. for 1847; Transac. of Sec. pp. 92, 93, and for 1848, p. 88. These passages unconsciously testify to the sagacity of Diderot; and they also testify to the stupid ignorance of a government, which sought to put an end to such inquiries by punishing their author.
787
Mém. et Corresp. de Diderot, vol. i. pp. 26–29; Musset Pathay, Vie de Rousseu, vol. i. p. 47, vol. ii. p. 276; Letter to d'Argental in Œuvres de Voltaire, vol. lviii. p. 454; Lacretelle, Dix-huitième Siècle, vol. ii. p. 54.
788
A happy arrangement, by which curiosity baffles despotism. In 1767, an acute observer wrote, ‘Il n'y a plus de livres qu'on imprime plusieurs fois, que les livres condamnés. Il faut aujourd'hui qu'un libraire prie les magistrate de brûler son livre pour le faire vendre.’ Grimm, Corresp. vol. v. p. 498. To the same effect, Mém. de Ségur, vol. i. pp. 15, 16; Mém. de Georgel, vol. ii. p. 256.
789
‘Quel est aujourd'hui parmi nous l'homme de lettres de quelque mérite qui n'ait éprouvé plus ou moins les fureurs de la calomnie et de la persécution?’ etc. Grimm, Corresp. vol. v. p. 451. This was written in 1767, and during more than forty years previously we find similar expressions; the earliest I have met with being in a letter to Thiriot, in 1723, in which Voltaire says (Œuvres, vol. lvi. p. 94), ‘la sévérité devient plus grande de jour en jour dans l'inquisition de la librairie.’ For other instances, see his letter to De Formont, pp. 423–425, also vol. lvii. pp. 144, 351, vol. lviii. p. 222; his Lettres inédites, vol. i. p. 547; Mém. de Diderot, vol. ii. p. 215; Letters of Eminent Persons to Hume, pp. 14, 15.
790
Part of this is related, rather inaccurately, in Schlosser's Eighteenth Century, vol. iii. p. 483. The fullest account is in Grimm, Corresp. Lit. vol. viii. pp. 231–233: ‘Le grand Maurice, irrité d'une résistance qu'il n'avait jamais éprouvée nulle part, eut la faiblesse de demander une lettre de cachet pour enlever à un mari sa femme, et pour la contraindre d'être sa concubine; et, chose remarquable, cette lettre de cachet fut accordée et exécutée. Les deux époux plièrent sous le joug de la nécessité, et la petite Chantilly fut à la fois femme de Favart et maîtresse de Maurice de Saxe.’
791
‘L'Averdy was no sooner named controller of finance than he published a decree, in 1764 (arrêt du conseil), – which, according to the state of the then existing constitution, had the force of a law, – by which every man was forbidden to print, or cause to be printed, anything whatever upon administrative affairs, or government regulations in general, under the penalty of a breach of the police laws; by which the man was liable to be punished without defence, and not as was the case before the law courts, where he might defend himself, and could only be judged according to law.’ Schlosser's Eighteenth Century, vol. ii. p. 166: see also Mém. de Morellet, vol. i. p. 141, vol. ii. p. 75, ‘un arrêt du conseil, qui défendait d'imprimer sur les matières d'administration.’