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Transitions
Ce même soir du 15 juin, après avoir reçu Balbo et lui avoir donné les ordres, le Duce avait chargé la police politique OVRA en la personne de confiance Bocchini de gérer le travail du Cabinet et de lui reporter chaque information en mérite.
En temps record, dans chaque chef-lieu de province il était constitué, secrètement, une âsection spéciale RS/33â de lââOVRA avec le devoir dâinformer Bocchini à chaque nouvelles et éventuelles informations de vélivoles inconnus, de quelconque forme, et de sâintéresser immédiatement et directement à plagier les témoins non militaires. Chaque avertissement devait être signalé avec un formulaire crée par Bocchini, siglé RS/33.FZ.4, dont le modèle a été transmis à toutes les préfectures italiennes et, de chacune de celles-ci, à tous les employés des forces de sécurité et aussi aux casernes locales de la Milice ; un analogue modèle, destiné aux officiels de lâaéronautique, a été envoyé par le bureau ministériel de Balbo à tous les commandants avions pour quâils le remettent aux employés. Mussolini avait aussi décidé que nâimporte quel rapport relatif aux avertissements par des sujets civils devait passer par lâOVRA et depuis cela, trois ont été envoyé à lui personnellement et à Italo Balbo ministre de lâaéronautique et Gian Galeazzo Ciano Directeur entrant du bureau Presse, et aussi au siège central romain du Cabinet RS/33.
Balbo aussi, même sâil nâétait pas un grand studieux, a été coopté dans le même Cabinet, pour sa détermination à promouvoir la Régie Aéronautique Militaire, et ayant comme proverbe âIl faut sublimer la passion du vol jusquâà rendre lâItalie le pays le plus aviateur du monde »Quant aux membres scientifiques, à la tête de de l'RS/33 il a été choisi Guglielmo Marconi. Mais, étant en croisière autour du globe sur son bateau-laboratoire Elettra âle même nom de sa filleâ, Mussolini avait décidé que, pour le moment, le Cabinet sera dirigé par lâastronaute et mathématicien professeur Gino Cecchini de lâobservatoire de Milan Merate: dans les intentions du Duce, seulement provisoirement, pourtant, compte tenu de lâeffacement du premier Nobel dans beaucoup dâautres recherches, Cecchini sera resté définitivement à la tête de lâRS/33. Les autres scientifiques appartenaient aux classes de médecine, sciences naturelles, physique et mathématiques de lâAcadémie royale dâItalie, sauf le président du conseil supérieur des Travaux publiques et sénateur Luigi Cozza, qui a été embauché dans le Cabinet comme référent de lâorganisation et membre de liaison avec le Gouvernement.
Avant tout, il sâagissait de comprendre le fonctionnement de lâaéromobile étranger, pour en pouvoir en construire non seulement des similaires, mais en espérant des meilleurs, en entretenant ainsi lâItalie, â de manière formidableâ selon les paroles du Duce, le premier technicien aviateur qui, en ces années, était reconnu dans le monde entier et, avec cela, la concrète suprématie militaire de lâair et en admiration psychologique de lâItalie par tous les ennemis potentiels. Le programme comportait la concentration des recherches, au plus tôt, dans un centre doté dâinstallations très modernes, qui a été nommé, tout de suite, Institut central Aéronautique et qui sera créé en dehors de Rome mais non loin du siège universitaire de lâRS/33; il a été vite fait individué un lieu, le champ dâaviation Barbieri à Montecelio, où les installations seront prêtes entre 1933 et lâannée 1935 et il y sera construit autour la nouvelle ville de Guidonia.
Chapitre 4
Comme il apparaissait dans le second morceau restauré du film, les nudistes extra-terrestres étaient des individus similaires aux êtres humains à part quelques caractères considérables :
Ils avaient un visage similaire au museau des koalas terrestres mais sans poils, et avec quatre doigts pour chaque main comme celles des squelettes humanoïdes retrouvés et pour cela lâarithmétique de cette espèce intelligente, comme il résultait par les feuilles de calculs et comme il sâest pu vérifier, après le déchiffrage des symboles, grâce aux calculs de la vingt-huitième *et professeur Raimonda Traversi, géniale mathématicienne et statisticienne de lâéquipe, câétait sur la base du huit25 : les ancêtres de ces koalas anthropomorphes devaient avoir commencé à faire les comptes, dans le lointain passé, sur leur huit doigts, alors que les êtres humains avaient appris à calculer sur leur dix doigts en créant une arithmétique décimale; lâautre différence importante câétait le porte-bébé sur le ventre des femmes: âEspèce mammifère marsupialeâ, avait décrété, avec complète certitude, le docteur Aldo Gorgo, un cinquantaine pas mal et très maigre, médecin chirurgien militaire de bord et biologiste coordinateur du groupe scientifique astro-biologique.
Toutes les découvertes témoignaient quâau moment de sa disparition, la civilité de la planète 2A Centauri26 sâétait trouvée dans la même situation scientifique-technologique de la Terre dans la première moitié du XX siècle; toutefois, à une première donnée approximative des différents produits et des squelettes, il a résulté quâils étaient correspondants à la période terrestre entre 1650 et 1750 pour la civilité extra-terrestres, au moment de son extinction, qui avait été faite plus de deux siècles après celle de notre planète: au retour à la maison, les données se serait répétées avec des instruments plus sophistiqués de cet ordinateur portable de lâastronef 2, mais le résultat ne sera sûrement pas si loin.
Lâenvie des scientifiques était grande pour découvrir la disparition de cette race intelligente. En premier lieu, lâenregistrement sur le disque phonique récupéré pourra donner une réponse, après le nettoyage sonore et un travail dâinterprétation, ce nâest pas facile malgré lâaide des robots traducteurs; et il pourront aussi valoir les deux documents en papier retrouvés dans la même salle; mais cette étude et les autres pourront se déroulé seulement après le retour sur la Terre, dans lâUniversité de La Sapienza de Rome pour le compte de cette mission scientifique faite sur cette lointaine planète et maintenant le moment du rapatriement était arrivé, en étant presque passé la période, correspondante à un maximum de trois mois terrestres depuis le moment du départ, entre lequel il était obligé de rentrer par la loi du Parlement des Ãtats Confédérés DâEurope, la loi du Chrono-cosmique.
à la fin du diner le commandant, lâingénieur Margherita Ferraris, avait communiqué sans préambules aux officiels hors service et aux scientifiques, tous assis avec elle autour de la grande table de la salle du déjeuner et des réunions: âMessieurs, dans peu de temps on retourne à la maison â: Marguerite était une trente-septième célibataire élancée et approchant le mètre et quatre-vingt-cinq, chevelure noire et avec un visage plein et gracieux: une personne décidée et un officiel absolument brillant; elle sâest diplômée avec le maximum des votes, une douzaine dâannées auparavant, en Ingénierie Spatiale au Polytechnique de Turin et, étant été admise par un concours, dans les deux dernières années, même à lâacadémie Chrono-astronautique Européenne, reliée aux autres polytechniques du continent, elle avait obtenu le grade de lieutenant du Corpsavec le diplôme, entrée en service, elle a été assignée avant comme second officiel à un vaisseau chrono-astronautique qui portait le numéro 9, câest à dire le neuvième mis en ordre de construction, et ensuite elle est montée au grade de capitaine dans le même vaisseau: elle sâétait faite une expérience complète, surtout car le vaisseau 9 a été engagé avant dans les missions spatiales et, dans les dernières années, en voyages dans le passé de la Terre; récemment Marguerite a été promue majeure et avait eu les commandes du nouveau vaisseau 22.
âJe suis anxieux dâécouter le disque sonore, à peine que lâon aura arrangé dans notre laboratoire à Romeâ, avait dit aux convives le professeur Valerio Faro, directeur de La Sapienza de lâinstitut dâhistoire des cultures et des doctrines économiques et sociales, le quadragénaire, aux cheveux bruns et grand presque de deux mètres et avec un physique robuste.
âOui, moi aussi, je suis anxieuseâ, avait fait écho la collègue Anna Mancuso, chercheuse dâhistoire et collaboratrice de Faro, une sicilienne trentenaire aux linéaments fins et avec des grands yeux verts, blonde parce que lointaine descendante des occupants normands de son île, belle même si elle nâest pas de grande stature avec son mètre et soixante-quatorze, contre la moyenne féminine européenne dâun mètre quatre-vingt.
âJâai plutôt une grande curiosité â, était intervenu lâanthropologue et professeur Jan Kubrich, un quarante-cinquième, professeur associé à lâuniversité La Sapienza, blond et rondelet, haut dâun mètre et quatre-vingt-cinq, de stature moyenne pour le standard masculin, un homme scientifiquement rigoureux, mais passionné malheureusement de vodka Lime jusquâà en mettre en danger sa propre santé.
Il avait fait suivre Elio Pratt, quarantième professeur associé dâastrobiologie à La Sapienza, spécialisé en faune et flore aquatique, et aussi sous-marine avec dâexcellentes immersions en compétitions dâimmersion dans les mers terrestres : âJâai déjà pu voir beaucoup de résultats sur les espèces que jâai rassemblé dans les deux bassines, mais certainement une fois à Rome je pourrais approfondir â.
âJe suivrais avec grand intérêt votre travail et je crois que je pourrais vous être utile dans les traductions avait dit pour sa part la mathématicienne et statisticienne Raimonda Traversi.
Le coordinateur du groupe astrobiologique le docteur Aldo Gorgo nâavait lui pas parlé : étant lui le médecin militaire de bord et non un professeur ou un chercheur universitaire, simplement il aura continué son service sur le vaisseau, en laissant le suivit des recherches aux autres studieux.
Moins dâune heure après, au temps terrestre, le vaisseau 22 avait laissé lâorbite de la planète en se dirigeant dans lâespace profond pour accomplir, à la distance de sécurité réglementaire, le saut chrono-spatiale vers la Terre comme il était déjà arrivé avant de la rentrée de lâorbite, 2A Centauri sâétait présenté aux chrono-astronautes dans sa totalité, couvert de glace dans les zones arctiques et antarctiques, toutes les deux sans terres sous-jacentes, et avec deux continents, toute les deux dans la zone boréale, grand chacun dâun peu moins de lâAustralie, divisés par un bras serré de mer, alors que lâautre face du globe était couverte entièrement dâun océan.
à 10 heures et 22 minutes, lâheure de Rome, du 10 août 2133 la chrono-astronef 22 sâétait mise en orbite autour de notre monde. Sur la Terre il sâétait passé un peu plus de dix-huit heures depuis que, à 16 heures et 20 minutes du 19 août, lâexpédition scientifique sâétait embarquée pour destination la seconde planète de lâétoile Alfa Centauri A: câétait grâce au dispositif Chronos du vaisseau que sur la Terre il ne sâétait même pas passé un jour, même si lâexpédition était restée longtemps sur le monde extra-terrestres. La fatigue qui pesait sur tout le monde était celle des mois de travail supportés.
Les scientifiques et lâéquipage qui avait jouit du premier tour de franchise voulaient se relaxer, pour ceux nâayant pas la famille en vacance tranquille, se retrouvait dans la tranquillité domestique avec leur proches après la longue séparation : Les familiaux, au contraire, ne souffraient jamais le sens du détachement, pour eux en effet il passait peu de temps. Après les premières expériences, les voyageurs et leurs proches sâétaient habitués aux conséquences de tels anachronismes, dont le vieillissement de ceux qui étaient partit, même si non évident et aussi pour ce motif, autre que le stress que comportait, les missions ne pouvaient pas dépasser le temps maximal de trois mois. A différence de ce qui a été prévu par Einstein pour les simples voyages spatiales à vitesse proche de celle de la lumière, pour lequel lâastronaute serait resté jeune et les habitants de la terre seraient vieillis, les expéditions avec un saut temporel nâinfluencent pas sur lââge des chrono-astronautes, ils subissent seulement lâaction du vieillissement naturel dû au temps des mois parcourus sur les autres planètes et, pour les chrono-voyageurs, sur la terre du passé.
Les communications depuis et avec notre planète étaient restés interrompues depuis le saut de la navette 22 vers la planète extra-terrestre, faite pour des raisons de sécurité , selon les règlements, de la distance dâun million de kilomètres de lâorbite lunaire: les transmissions radio et télévisées étaient toutes inutiles car, en voyageant les ondes à une vitesse à peine tendant à celle de la lente lumière, elle seraient arrivées à destination après une longue durée: sur la planète 2A Centauri ils seraient arrivés d la Terre à environ 4,36 ans plus tard27 , quand les explorateurs seraient déjà repartis depuis longtemps. Câétait toujours ainsi les voyages spatiales et, aussi, à cause du décalage chronologique: les chronos-astronautes restaient isolés, les seules âliaisonsâ, en voulant les appeler ainsi, étaient ceux dits âcongelésâ, il sâagissait en fait de toutes les informations relatives à la Terre, des historiques aux plus récentes, prise par les élaborateurs électroniques publiques du monde et renfermées, jusquâau moment avant de partir, dans les mémoires des ordinateurs de bord et, pour certaines données, et même celles individuelles des membres de lâéquipage et des chercheurs: même ces élaborateurs personnels, malgré leur extrême petite taille, très puissants, avec une capacité de mémoire et des prestations non imaginable au temps des premiers ordinateurs portables maladroits du XX siècle et des mêmes ordinateurs des première année du siècle 2000.
Non à peine entrés en orbite, le commandant Ferrari avait ordonné dâouvrir le contact avec lâastroport de Rome, auquel les chercheurs et le personnel en franchise allaient débarquer.
Choc !
Même si la rigoureuse discipline de bord avait empêché à lâéquipage dâexprimer les émotions, la situation est apparue dâun coup très alarmant : les communications de la terre ont été données en allemand ! Alors que la langue universelle, depuis longtemps maintenant, câétait lâanglais international, même si les autres idiomes, dont la langue de Goethe et de Hitler, nâétaient pas mortes et, entre les intimes, on les parlait encore, comme un temps câétait le cas pour les dialectes.
Comme lâéquipage et les studieux de la 22 aurait mieux comprit dâici à peu , quelque chose dâhistoriquement terrible sâest passé et les attendait en-dessous par terre, quelque chose qui allait bouleverser leur attentes contentes et que déjà ont annulé, comme si elle nâavait jamais eu lieu, de cette belle vie auquel, pour quatre-vingt années, ils avaient jouit lâEurope et beaucoup dâautres pays, et auquel le reste de la Terre était maintenant proche grâce au pacte entre tous les ètats du monde, stipulé en 2120, qui avait porté, sur lâexemple des précédents cas historiques de la zone28 à un marché internationale sans douanes, considéré par tous un premier essai dâunion politique mondial : sur lâexpérience historique on ne voulait pas créer, comme seconde phase, une monnaie unique sans avoir uni avant le monde politiquement et constitué, parallèlement, un institut dâémission central global doté des pleins pouvoirs monétaires, on avait en effet appris la leçon de lâEurope dans les premières années 2000 où lâeuro avait précédé lâunion politique donnant de graves dommages à beaucoup dâétats adhérents, besogneux à un certain moment de plus de monnaie sans que vienne en secours lâInstitut dâémission européen, situation pour lequel la même union avait risqué de se détruire, jusquâà quand il nâa pas prévalu la raison de la Confédération29 politique européenne avec la propre banque centrale dâémission. De plus lâhistoire de la terre a particulièrement soufferte déjà avant la crise européenne, de sa conclusion et du prospère et pacifique des quatre-vingt ans qui ont été suivit : au 20ème siècle le monde a été passé par deux guerres mondiales terribles, avec des dizaines de millions de morts, et au travers des différents conflits locaux, et une fois gagné le nazi-fascisme, on a transité dramatiquement par la guerre froide entre lâoccident et lâunion soviétique : lâHistoire était passée, presque partout dans le monde, par la mort libératoire de lâautre dictature politique, le communisme; mais, elle sâest aussi contrée avec le capitalisme exaspéré et le concomitant effondrement de la spiritualité. Finalement, à la moitié du XXI siècle il a eu la remontée avec la conquête dâune condition pacifique et prospère même pas imaginable dans les siècles précédents.
Telle condition bénigne a disparu et était en acte une Autre histoire. Régnait également la paix mondiale, mais non libérale, basée, comme ils ignoraient pour le moment les passagers du vaisseau 22, sur une seconde guerre mondiale alternative, gagné par lâAllemagne nazie: Il sâagissait dâune paix qui, en paraphrasant un antique proverbe latin30 en réalité sâétait seulement un désert de lââme, qui avait comporté la disparition dâentière ethnies, définies races comme celles des chiens: lâhébraïque avant tout, anéantie, et ensuite lâafricaine noire réduite complétement en esclavage et mise au travail dans une manière tellement inhumaine dâen provoquer la presque extinction. Seulement les peuples nommés ârace jauneâ et ârace arabeâ ont été respectés, car selon une pseudo études anthropologique avait déclaré quâil sâagissait de personnes dérivées dâune division évolutive de la race indo-aryenne, qui avait eu lieu deux cents mille ans avant; en réalité les raisons en étaient pratiques: dâune partie cela nâaurait pas été possible, à la relative peu nombreuse âraceâ aryenne qui avait conquis le monde, dâexterminer entièrement lâénorme population à la peau jaune ; et lâautre raison est que, au XXème siècle les arabes ont été, comme les nazis, les terribles adversaires des hébraïques, et ils ont été même des alliés de lâAllemagne dans la guerre dâespionnage des années trente, et cela leur avait fait gagné la magnanimité dâHitler, même si cela aura été assez difficile pour les anthropologues du nazisme de justifier la discriminations, étant donné que les hébraïques et les arabes avaient la même origine sémite.
Les employés aux communications de la navette 22, sans se troubler même si, comme tous, lââme en tumulte, et sans besoin dâen recevoir lâordre par le commandant avaient insérés, avant dâexprimer une seule parole, un des traducteurs automatiques de bord, qui étaient activés dans les deux directions, et avec lâexcuse que les paroles nâétaient pas arrivées clairement, ils avaient demandés de répéter. La communication de Rome est arrivée de nouveau, exprimée en anglais international grâce à lâordinateur traducteur : il sâagissait dâordinaires dispositions du service de la part des employés au trafic astro-portuaire. Ils ont été exécutés par la navette à la lettre ; mais si la discipline du personnel de bord, apprise dans les académies pour les officiels ou pour les sous-officiers du Corps Astronautique, avait évité les obstacles et peut être les problèmes, les cÅurs de tous étaient en tempête.
Le commandant avait fait reprendre, avec les vidéos caméras de la navette 22, les images rapprochées de la Terre le long de lâorbite du vaisseau, en évitant de lancer des satellites explorateurs sur les autres orbites pour ne pas suspecter quelquâun à terre, que le fait ne serait pas conforme aux conditions de retour.
Après avoir réfléchit et sâêtre consulté avec le premier officiel capitaine Marius Blanchin, un parisien trentenaire haut dâun mètre et quatre-vingt-dix, maigre, de peau rouge et des yeux verts hérédités de la mère irlandaise, Marguerite avait décidé de descendre personnellement à lâastroport pour une inspection directe, dans le but de comprendre un peu mieux la situation avant dâassumer dâautres initiatives. Comme elle ne connaissait pas lâallemand, même en ayant un traducteur inséré dans le propre micro personnel elle avait demandé à Valerio Faro de lâaccompagner, vu quâil comprenait et parlait cette langue couramment lâayant étudiée beaucoup, à son temps, pour son mémoire de master en Histoire des doctrines économique et sociales centrée sur les Åuvres de lâallemand Karl Marx, et lâayant utilisé pour des recherches successives historique: Marguerite retenait à raison que, dans le cas où il était nécessaire de sâexprimer en allemand face à face avec quelquâun, cela aura été opportun quâun bon connaisseur de la langue parla directement, sans intermédiaire instrumental, et permettant ainsi de réduire le risque dâêtre découvert.
En attendant, en utilisant lâun des traducteurs automatique de bord, le commandant avait demandé en allemand à Rome lâautorisation à prendre terre avec le disque-navette. Cela a été concédé sans difficultés. Marguerite avait renforcé lâidée, en contestant quâils ne fussent pas piégés à terre, que leur mission fut tranquillement à connaissance du Commandant de lâastroport.
Un certain Paul RicÅur, soldat du peloton de la fanterie dâAstro-marine qui sâétait disloqué sur la navette avec les devoirs de protection, avait pris poste sur le disque avec le commandant, Valerio Faro et le sergent pilote Jolanda Castro Rabal. Chacun des quatre avait avec soi un paralysant individuel.
Arrivés sur terre ils avaient vus, en gelant, que sur la tour de lâastroport de Rome campait le drapeau de lâAllemagne nazisme au lieu du drapeau habituel bleu ciel avec les étoiles dorées disposées en cercle des Ãtats confédérés dâEurope.
Le commandant avait ordonné à la pilote : âJolanda, reste dans le disque, reste en pré-ascension et soit prête à décoller â, et elle sâétait donc embarqué avec les autre. Ils étaient entrés dans le bâtiment de lâastroport. Ici le trio avait pu croiser divers symboles nazismes; et il sâétaient retrouvés dans un grand bas-relief commémoratif exaltant 'Adolf Hitler I, Le duc et Empereur de la Terre et Conquérant de la Lune; et en écoutant les personnes rencontrées parler entre eux en allemand et en voyant quelque unes se saluer, comme dans le III Reich, avec le bras tendu, les trois avaient vérifié sans possibilité de doute de se trouver dans une société politiquement très divers de la leur, où il nây avait pas lieu la vivante démocratie quâils avaient laissés à leur départ, mais câétait le nazisme à dominer.
Alors que le petit groupe tournait sur ses propres pas, Marguerite avait susurré, hésitante, aux deux compagnons : âIl pourrait sâagir dâun problème déclenché par nous à cause dâun dysfonctionnement de lâappareil Chronosâ.
à peine à bord de la navette, elle avait ordonné à la pilote le retour sur la navette.
Dans les quelques minutes nécessaires pour rejoindre le vaisseau, la pensée de tous était allée aux respectives familles ; ils sâétaient demandés si leur proches les auraient reconnus et si, et même, dans ce monde ils y étaient : Marguerite avait laissé sur notre Terre le père, la mère et la sÅur la plus jeune, elle aussi ingénieur mais civil et titulaire dâun studio professionnel, Valerio la maman, un frère marié et deux neveux ; la pilote le mari ; le soldat la femme et une fille.
Certainement, ce désordre temporel nâa pas eu dâeffet sur lâéquipage et les passagers de la chrono-navette, car personne sâest retrouvé englobé, et peut être aussi psychologiquement, dans la nouvelle société nazie.