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Mémoires touchant la vie et les écrits de Marie de Rabutin-Chantal, Vol. 6
La fille du baron de Chantal, alors âgée seulement de dix-huit mois, fut laissée aux soins de sa mère, Marie de Coulanges, pour laquelle, nous l'avons vu, la fondatrice de la Visitation avait une estime particulière, qui fait l'éloge de cette humble et douce femme, dont si peu de souvenirs nous sont restés. Six mois après la mort de son fils, madame de Chantal fit un second voyage à Paris, l'Abrégé de sa vie dit pour les besoins de son ordre198, mais on peut ajouter aussi pour y voir, consoler et conseiller sa bru, et pourvoir en même temps aux intérêts de sa petite-fille. Elle séjourna à Paris jusqu'au mois de mai 1628, et s'en retourna à Annecy par la Bourgogne. A quatre ans de là, la jeune baronne de Chantal elle-même vint à manquer à celle qui devait s'appeler madame de Sévigné. «La mère de Chantal fut fort touchée de la mort de sa belle-fille, par l'amitié qu'elle avoit pour elle, et encore plus pour l'intérêt de mademoiselle de Chantal, sa petite-fille, qui demeuroit orpheline à cinq ans199.» C'est six qu'il faut dire. «Elle aimoit tendrement sa belle-fille, reprend l'auteur contemporain des mémoires de sa vie; néanmoins elle n'eut point d'autres paroles que celles qui lui étoient ordinaires en ces douloureuses rencontres: «Le Seigneur l'a donné, le Seigneur l'a ôté, le nom du Seigneur soit loué!200» D'un commun accord l'enfance de la jeune orpheline fut remise à la double sollicitude de son aïeul maternel et de son oncle, l'abbé de Coulanges, immortalisé sous le nom du Bien Bon, mais sous la surveillance qui pouvait être lointaine, car elle était heureusement inutile, de la supérieure du couvent d'Annecy201.
Le lendemain du jour où elle avait reçu la nouvelle de la mort de sa bru, madame de Chantal apprit celle du comte de Toulongeon, son gendre, gouverneur de Pignerol: «Voilà bien des morts, dit-elle;» puis, se reprenant au même instant, écrit madame de Chaugy, joignit les mains et ajouta: «mais plutôt voilà bien des pèlerins qui se hâtent d'aller au logis éternel. Seigneur, recevez-les entre les bras de votre miséricorde!» Et, ayant un peu prié Dieu et jeté quelques larmes, se raffermit202.»
La mère de Chantal ne vivait plus que pour la béatification de son saint directeur, qu'elle fut enfin assez heureuse pour obtenir, et pour la prospérité et la perfection de son ordre. L'institut de la Visitation avait fini ses temps d'épreuve. Non-seulement il était accepté par les ordres rivaux, mais, grâce à la pure et sainte direction de la mère, grâce surtout à ses éclatantes vertus, il devenait maintenant populaire. On le demandait de partout. De 1626 à 1632, madame de Chantal, déférant au vœu bien constaté des populations, établit de nouvelles maisons à Chambéry, à Pont-à-Mousson, à Crémieu, à Châlons, à Marseille et à Montpellier, une succursale à Paris au faubourg Saint-Jacques, et un second monastère à Annecy même, le premier étant devenu complétement insuffisant pour contenir toutes les novices, filles ou veuves, qui voulaient faire profession entre les mains de la vénérable mère, et vivre auprès d'elle.
Quelque temps après la mort de sa belle-fille et de son gendre, la mère de Chantal, pour les intérêts de son ordre, eut à faire un court voyage à Lyon. C'est là qu'elle fut mise en rapport pour la première fois avec une autre femme d'élite, à qui l'impitoyable politique de Richelieu venait d'infliger un de ces veuvages qui seraient la mort dans le désespoir, si le Dieu des affligés n'existait pas, et qui, après avoir vu son mari périr sur l'échafaud, se rendait au château de Moulins, qu'on lui avait assigné pour retraite, ou plutôt pour prison. C'est à l'écrivain, aujourd'hui disparu et regretté, et qui, hier encore, nous racontait avec tant de charme la vie et les larmes de la belle Marie des Ursins, que nous allons demander les premiers détails de ces relations de sainte Chantal avec la veuve du supplicié de Toulouse, cet infortuné duc de Montmorency, si coupable, mais si digne de pardon.
«Une amertume nouvelle attendait la duchesse à Lyon, où le frère de Richelieu était archevêque. Elle se promettait quelque soulagement au couvent de Bellecour, où se trouvait alors la mère de Chantal, supérieure de l'ordre de la Visitation. Une vive sympathie l'attirait vers cette amie de François de Sales, cette amante spirituelle dont le cœur saignait encore de la perte du saint évêque. L'autre veuve aspirait à voir cette pure victime de l'amour divin; mais le frère de Richelieu ne lui permit pas la douceur d'une telle entrevue. Il fit sortir de Bellecour madame de Chantal, et lui commanda de se retirer dans une autre maison sur la montagne de Fourvières. La généreuse femme, ne pouvant voir la princesse, lui envoya ce qu'elle possédait de plus précieux, un portrait de François de Sales, au revers duquel elle écrivit quelques mots touchants de prière pour celle que sa parole ne pouvait consoler203.» L'affligée continua sa pénible route; mais, sans s'être rencontrées, ces deux grandes âmes s'étaient comprises et aimées, et la séduisante image de saint François de Sales allait, par un lien invisible et puissant, amener à la vie religieuse, et jeter dans les bras de la mère de Chantal cette illustre naufragée de la politique et du monde.
Deux ans ne s'étaient pas écoulés, en effet, que la veuve de Henri de Montmorency, qui avait épuisé toutes les ressources du courage humain, vint demander au couvent de la Visitation de Moulins un refuge contre ses souvenirs et contre son propre cœur. «Une vénération particulière pour saint François de Sales, fondateur de cet ordre, ajoute M. Amédée Renée, une extrême sympathie pour madame de Chantal, qui en était la supérieure, arrêtèrent son choix; puis la maison de Moulins était pauvre, et avait besoin à ses débuts d'une haute assistance204.»
Cette même année, la mère de Chantal, depuis peu rentrée en Savoie, fut appelée une troisième fois à Paris, pour les nécessités de son institut. Elle passa par Moulins, et put enfin voir l'infortunée duchesse de Montmorency, si désireuse, de son côté, de connaître celle dont la vertu l'avait attirée dans cette retraite, qui ne devait pas de sitôt donner à son cœur toujours épris une paix faiblement désirée. De vive voix, comme elle l'avait fait par lettres, la triste veuve demanda à cette mère de la résignation un peu de l'absolue soumission envers la Providence, dont elle semblait être le foyer comme elle en était le docteur.
Mais, dans le cœur de la belle Marie des Ursins, de cette nièce de Marie de Médicis, dont les yeux, au milieu de la cour, n'avaient jamais distingué que son séduisant et volage époux, la douleur était immense, l'apaisement fut long. Madame de Chantal ne put rien, évidemment, à cette première entrevue, et, dans la suite, elle dut y revenir à bien des fois, avec toute la délicatesse de son esprit et l'onction de sa parole, avant de cicatriser l'horrible blessure faite à ce cœur d'épouse aujourd'hui amoureuse d'un tombeau.
Arrivée à Paris au mois de juillet 1634, la mère de Chantal n'en repartit qu'au mois d'avril suivant. Pendant ces neuf mois, elle s'occupa surtout des moyens de conserver l'union entre ses religieuses, qui, depuis l'établissement de la seconde maison du faubourg Saint-Jacques, avaient une tendance que, dès le début, il fallait réprimer à la rivalité et à la division. Elle donna aussi des soins à l'éducation de Marie de Rabutin, alors âgée de huit ans, et dont la grâce précoce était faite pour séduire et attacher sa grand'mère, malgré son austérité et sa lutte contre les joies même les plus légitimes de la terre. A chaque voyage nouveau à Paris, la réputation de madame de Chantal grandissait et lui attirait de plus grands hommages et un plus grand nombre de clients spirituels, qui venaient chercher auprès d'elle des consolations, des exemples et des conseils. «Elle édifioit et contentoit tout le monde; et sa vertu fit tant de bruit que beaucoup de gens en crédit s'employèrent pour la faire demeurer toujours à Paris; mais, ne s'y croyant plus nécessaire, rien ne la put arrêter205.» La mère de Chantal, dans ce voyage, se lia encore plus intimement avec l'autre grand saint de ce temps, Vincent de Paul, fervent admirateur de sa vertu. Elle lui demandait la force et les conseils qu'elle avait si longtemps trouvés auprès de l'évêque de Genève et que le saint de la charité lui prodiguait en vrai père, comme l'avait fait le saint de l'amour divin206.
En se rendant de Paris en Savoie, la mère de Chantal visita la plus grande partie des maisons de son ordre; elle donna quelque temps à la comtesse de Toulongeon, sa fille, poussa jusqu'en Provence et à Marseille, et rentra à Annecy au mois d'octobre de l'année 1635.
Cette sainte vie, qui devait se prolonger six années encore, n'offre rien de particulier, jusqu'au quatrième voyage de la mère de Chantal à Paris, qui marqua la fin de son apostolat. Ses biographes sont sobres de détails pour ces derniers temps, lassés peut-être eux-mêmes de redire les mêmes œuvres et les mêmes vertus. Quelques faits cependant peuvent et doivent être relevés. En 1638, la duchesse de Savoie l'ayant instamment priée de venir établir une maison de la Visitation à Turin, madame de Chantal s'y rendit «dans un équipage que lui envoya madame de Savoie, qui la reçut avec joie, la combla d'honneurs et d'amitiés, et lui fit de grands présents pour sa nouvelle fondation207.» La mère de Chantal employa sept mois à cette œuvre d'un grand avenir pour l'institut: de retour à Annecy, elle s'occupa à réaliser un projet qu'elle avait formé lors de son dernier retour de Paris, en l'honneur de son nouveau père, le vénéré Vincent de Paul; c'était celui de l'établissement à Annecy d'une maison des Pères missionnaires, dont le fondateur de l'œuvre des Enfants abandonnés était le supérieur général. «Cet évêché étant si étendu, écrit madame de Chantal à M. de Sillery, si nombreux en peuple, et si voisin de la malheureuse Genève, ce secours y étoit tout à fait nécessaire208.»
L'année suivante (1640) fut marquée pour la mère de Chantal par de douloureuses séparations qui affligèrent son cœur, mais n'entamèrent point son courage et sa résignation. Presque coup sur coup, elle perdit ses trois plus anciennes compagnes, les mères Favre, de Chastel et de Brechat, qui, avec elle, avaient posé les premiers fondements de l'ordre. Elle eut encore l'affliction d'apprendre la mort de son meilleur ami dans le monde, le commandeur de Sillery, protecteur de la Visitation de Paris, et, enfin, le 13 mai 1640, celle de son frère unique et bien-aimé, l'archevêque de Bourges209. Tous ses parents, ses amis, la quittaient; elle songea alors à sa fin, qu'elle croyait prochaine, et dont la pensée fixe ne l'avait jamais abandonnée. L'âge (elle avait plus de soixante-huit ans) et quelque pressentiment d'en haut l'avertissant, elle se démit de sa charge de supérieure de la maison mère d'Annecy. La communauté insista pour qu'elle conservât ces fonctions qu'elle remplissait avec tant de perfection et d'autorité; mais elle demanda avec de si vives instances «qu'on la laissât se préparer à la mort, dans la tranquillité d'une simple religieuse, qu'on le lui accorda, et d'autant plus que son grand âge demandoit du repos210.» Elle cessa d'être supérieure, mais rien ne pouvait lui ôter le titre de conseil, d'oracle, de directrice morale, de règle vivante de l'ordre, que lui continuèrent, malgré tous les efforts de son humilité, l'absolu respect de ses filles et la populaire vénération du dehors.
C'est à tous ces titres, auxquels il faut joindre une amitié cultivée par lettres, et d'année en année croissante, que l'illustre novice de Moulins, ses épreuves religieuses terminées, et son cœur presque soumis, car il ne pouvait être consolé, s'adressa à madame de Chantal, afin d'obtenir d'elle qu'elle vînt lui donner ce voile sous lequel elle voulait à jamais ensevelir son veuvage et sa douleur. Chaque jour, pendant les six années de son noviciat dans le couvent de la Visitation, elle avait essayé de mourir à quelque souvenir de sa vie heureuse et charmée. Sa lutte contre le passé fut longue, pleine de larmes et d'orages intérieurs. Peu à peu cependant, sous l'empire des exhortations du père de Lingendes, son éloquent confesseur, et des tendres directions de la mère de Chantal, elle se dépouilla de tout ce qui lui rappelait trop son amour et ses malheurs: d'abord le portrait de son mari, puis ses lettres; ensuite son mépris pour Gaston d'Orléans, qui avait abandonné un ami après l'avoir entraîné à la révolte; enfin sa haine pour le sanglant Richelieu, qui ne savait que punir, et qui aurait pu, qui eût dû faire grâce. Chaque jour aussi elle s'était avancée davantage dans la pratique d'une règle où saint François de Sales avait déposé tant d'humilité, d'obéissance et de résignation, «se vouant de préférence aux emplois les plus bas, aux plus petits offices de la cuisine, aux soins les plus rebutants de l'infirmerie211.» – «Le vœu qu'avait formé la princesse, continue son historien, de recevoir le voile des mains de la mère de Chantal, trouva de la résistance chez l'évêque de Genève. C'était à l'entrée de l'hiver, et le prélat redoutait pour la supérieure l'épreuve d'un voyage dans cette saison. Il céda pourtant aux instantes prières de la duchesse, et madame de Chantal se rendit à Moulins (septembre 1641). Ces deux âmes se retrouvèrent avec une inexprimable joie; elles se comprenaient en tous leurs amours. «Qui aime accomplit toute la loi,» disaient-elles. «Soumise en tout à sa mère spirituelle, l'humble postulante consentit à différer ses vœux. La supérieure lui représenta qu'il fallait régler ses affaires, arrêter ses comptes de fortune, avant de fermer sur elle les portes du monde. La duchesse, touchée de ces avis, s'y rendit avec tristesse212.»
Le prélat contemporain de madame de Chantal qui s'est fait son minutieux annaliste, parlant de ce séjour à Moulins, dit un mot caractéristique, qui fait bien comprendre la puissante sympathie qui unissait ces deux âmes: «La mère de Chantal fit une si grande union avec madame de Montmorency, qu'elles étoient, ce semble, indivisibles213.» Et le même ajoute que, touchant à sa fin, et en quelque sorte entièrement spiritualisée par l'approche de sa récompense, l'amie de saint François de Sales répétait à chaque instant: «Amour! amour! mes chères sœurs, je ne veux plus parler que d'amour214!»
Madame de Chantal était sur le point de retourner à Annecy, lorsqu'elle reçut de son supérieur, l'évêque de Genève, l'ordre formel d'aller trouver la reine, Anne d'Autriche, qui avait témoigné un vif désir de la voir. Se doutant bien que, par humilité, la mère chercherait tous les prétextes pour se dérober à l'hommage qu'on voulait lui rendre, la reine avait pris la précaution nécessaire de s'adresser à l'autorité diocésaine, afin de ne point éprouver de refus. «Elle lui fit l'honneur, ajoute l'une des biographies qui nous servent de guide, de lui envoyer une litière, et de la prier, par une lettre de sa main, de faire ce voyage. La mère de Chantal partit aussitôt et arriva à Paris le quatrième d'octobre215
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1
SÉVIGNÉ, Lettres (18 avril 1676), t. IV, p. 243, édition de M. Monmerqué.
2
SÉVIGNÉ, Lettres (22 avril 1676), t. IV, p. 267, éd. Monmerqué.
3
SÉVIGNÉ, Lettres, t. IV, p. 245.
4
SÉVIGNÉ, Lettres, t IV, p. 248 et 270.
5
SÉVIGNÉ, Lettres (10 avril 1676), t. IV, p. 250.
6
SÉVIGNÉ, Lettres (15 avril, 1676), t. IV, p. 256.
7
SÉVIGNÉ, Lettres (22 avril), t. IV, p. 265.
8
SÉVIGNÉ, Lettres, t. IV, p. 252.
9
SÉVIGNÉ, Lettres (10 avril 1676), t. IV, p. 244.
10
Conférez M. Walckenaer, Mémoires touchant la vie et les écrits de madame de Sévigné, t. V, p. 247.
11
SÉVIGNÉ, Lettres, t. III, p. 346.
12
C'est Bossuet, on le sait, qui avait eu l'honneur de la conversion de Turenne.
13
Le Marais.
14
Le prince de Condé et son fils.
15
Turenne: on pourrait confondre.
16
SÉVIGNÉ, Lettres, t. III, p. 347.
17
Neveu de Turenne.
18
Le cardinal de Retz.
19
SÉVIGNÉ, Lettres (2 août 1675), t. III, p. 352 et 354.
20
Madame d'Heudicourt (mademoiselle de Pons).
21
Versailles.
22
SÉVIGNÉ, Lettres (7 août 1675), t. III, p. 361 et 363.
23
SÉVIGNÉ, Lettres (6 août 1675), t. III, p. 372. —Correspondance de Roger de Rabutin, comte de Bussy, édit. de M. Ludovic Lalanne; Paris, 1858, chez Charpentier, t. III, p. 69.
24
Mélanges inédits de l'abbé de Choisy, cités par M. Monmerqué dans une note à la lettre du 31 juillet 1675 (t. III, p. 349 de son édition).
25
BUSSY-RABUTIN, Lettres, t. III, p. 66, édit. Ludovic Lalanne.
26
Ibid., p. 67.
27
BUSSY-RABUTIN, Lettres, t. III, p. 77, éd. L. Lalanne. – SÉVIGNÉ, Lettres, t. III, p. 377.
28
SÉVIGNÉ, Lettres (27 août 1675), t. III, p. 431.
29
SÉVIGNÉ, Lettres, t. III, p. 388.
30
A la fois son curé et son confesseur.
31
Neveu de Turenne, par sa mère.
32
SÉVIGNÉ, t. III, p. 391.
33
Le comte de Beringhen, premier écuyer.
34
SÉVIGNÉ, Lettres (16 août 1675), t. III, p. 397.
35
Charles-Martel, Hugues le Grand, Bertrand du Guesclin et le connétable de Sancerre.
36
SÉVIGNÉ, Lettres, t. III, p. 409.
37
SÉVIGNÉ, Lettres, t. III, p. 438-441.
38
SÉVIGNÉ, Lettres, t. III, p. 443.
39
On sait que ce mot veut dire toute la maison militaire et civile, bien plus que le personnel de la domesticité.
40
SÉVIGNÉ, Lettres, t. III, p. 445.
41
SÉVIGNÉ, Lettres, t. III, p. 447.
42
SÉVIGNÉ, Lettres (9 septembre 1675), t. III, p. 461.
43
Mémoires du marquis de La Fare, Collection de MM. Michaud et Poujoulat, t. XXXII, p. 282.
44
SÉVIGNÉ, Lettres (13 août 1675), t. III, p. 396.
45
SÉVIGNÉ, Lettres, t. III, p. 401.
46
SÉVIGNÉ, Lettres, t. III, p. 433.
47
SÉVIGNÉ, Lettres, t. III, p. 457.
48
SÉVIGNÉ, Lettres, t. III, p. 475.
49
SÉVIGNÉ, Lettres (7 août 1675), t. III, p. 358.
50
SÉVIGNÉ, Lettres, t. III, p. 365.
51
Mémoires du chevalier Temple, ministre d'Angleterre, en Hollande, Coll. de MM. Michaud et Poujoulat, t. XXXII, p. 97.
52
SÉVIGNÉ, Lettres (21 août 1675), t. III, p. 414.
53
SÉVIGNÉ, Lettres, t. III, p. 386 et 389.
54
SÉVIGNÉ, Lettres (12 août), t. III, p. 393.
55
SÉVIGNÉ, Lettres (17 novembre 1675), t. IV, p. 89.
56
Mémoires du marquis de La Fare, Coll. Michaud et Ponjoulat, t. XXXII, p. 282.
57
SÉVIGNÉ, Lettres, t. III, p. 460.
58
SÉVIGNÉ, Lettres, t. III, p. 386.
59
SÉVIGNÉ, Lettres (16 août 1675), t. III, p. 403.
60
SÉVIGNÉ, Lettres (19 août 1675), t. III p. 407.
61
Procès-verbaux des assemblées du clergé, t. V, p. 220, et Pièces justificatives, à fin du volume, p. 131.
62
SÉVIGNÉ, Lettres (19 août 1675), t. III, p. 405.
63
SÉVIGNÉ, Lettres, t. III, p. 404.
64
SAINT-SIMON, édition de MM. Chéruel et Sainte-Beuve, t. X, p. 341.
65
Cf. SAINT-SIMON, t. VI, p. 37; VII, p. 263; et La Fare, Coll. Michaud, t. XXXII, p. 281.
66
SÉVIGNÉ, Lettres, t. III, p. 389 et 392.
67
SÉVIGNÉ, Lettres, t. III, p. 451.
68
Mémoires du chevalier Temple, ambassadeur d'Angleterre en Hollande; Coll. Michaud et Poujoulat, t. XXXII, p. 92.
69
SÉVIGNÉ, Lettres (20 septembre 1675), t. III, p. 477; Mémoires du chevalier Temple, Coll. Michaud et Poujoulat, t. XXXII, p. 100 et 104. —Mémoires de La Fare, ibid., p. 283.
70
SÉVIGNÉ, Lettres (10 avril 1675), t. IV, p. 250.
71
SÉVIGNÉ, Lettres, t. IV, p. 223.
72
Valet de chambre de madame de Sévigné.
73
SÉVIGNÉ, Lettres, t. IV, p. 255. Ceci est une allusion à la scène IX du troisième acte du Médecin malgré lui. Sganarelle, en passe d'être pendu, dit à sa femme: Retire-toi de là, tu me fends le cœur! Martine lui répond: Non, je veux demeurer pour encourager à la mort, et je ne te quitterai point que je ne t'aie vu pendu.
74
SÉVIGNÉ, Lettres, t. IV, p. 206.
75
SÉVIGNÉ, Lettres (15 avril 1676), t. IV, p. 256.
76
SÉVIGNÉ, Lettres (17 avril 1676), t. IV, p. 263.
77
SÉVIGNÉ, Lettres (29 avril 1676), t. IV, p. 271-274.
78
Voy. Lettres de la Palatine (duchesse d'Orléans), p. 121.
79
SÉVIGNÉ, Lettres, t. IV, p. 277.
80
SÉVIGNÉ, Lettres, t. IV, p. 303.
81
Mémoires du chevalier Temple, Collection Michaud, t. XXXII, p. 82.
82
Mémoires du chevalier Temple, p. 84.
83
Mémoires du chevalier Temple, p. 108.
84
Mémoires du chevalier Temple, p. 106.
85
SÉVIGNÉ, lettre du 28 mai 1676, t. IV, p. 319.
86
Correspondance de Bussy-Rabutin, t. III, p. 205.
87
Correspondance de Bussy-Rabutin, t. III, p. 157.
88
Mémoires de M. de La Fare, Coll. Michaud, t. XXXII, p. 284.